[Dossier] Les 15 pires scénarios écrits par Luc Besson

Par Onrembobine @OnRembobinefr

Partager la publication "[Dossier] Les 15 pires scénarios écrits par Luc Besson"

Il fut un temps où Luc Besson était considéré comme l’une des forces vives du cinéma français. On parlait de lui comme le sauveur d’un genre dominé par les Américains, et on saluait sa vision, son ambition et sa propension à imposer un style dont il était le seul garant. Mais ça c’était avant comme dirait l’autre. Dès que le succès fut énorme, Besson se mit à produire et à écrire des films vite torchés à la chaîne. Des copies de copies souvent indigentes, vite tournées, dont le seul but était visiblement d’engranger un maximum de pognon pour permettre à Besson de monter sa Cité du Cinéma. De quoi méchamment ternir la réputation et l’image de celui qui est vite passé d’enfant chéri du cinéma grand public hexagonal à grand manitou d’une industrie qui souffre un peu plus à chaque fois qu’il se met en tête de nous pondre un script. Et si il y a bien sûr des exceptions, les 10 exemples ci-dessous font clairement partie des pires œuvres écrites par notre Luc national…

Tous les Taxi

Un chauffeur de taxi amateur de tuning nargue la police, qui chez Besson, est systématiquement composée d’abrutis, mais finit par collaborer avec un flic légèrement moins crétin que ses collègues mais pas super malin non plus. C’est non seulement nul, mais l’humour tombe systématiquement à plat et les dialogues battent des records de bêtise en permanence.
Le top du top : quand Sami Naceri explique qu’il a boosté son taxi non pas à la nitro mais au pastis…

via GIPHY

Yamakasi

Une déclinaison bien à la ramasse du mythe de Robin des Bois. Devant la caméra, des mecs certes doués pour faire des acrobaties mais parfaitement incompétents quand il s’agit de jouer la comédie. Besson lui, a écrit un truc totalement dénué d’originalité, qui brille en permanence par sa débilité profonde.

via GIPHY

Lock Out

Un version photocopiée (la grande spécialité de Besson) du New York 1997 de John Carpenter. Du plagiat pur et simple si ce n’est qu’ici, le scénariste a poussé tous les compteurs de la débilité dans le rouge et qu’au final, le film atteint des niveaux de crétinerie assez impressionnant.

Lucy

Luc Besson nous apprend ici que nous n’utilisons que 10% de notre cerveau. Visiblement lui n’a utilisé qu’1% du sien pour venir à bout de ce scénario indigent.

via GIPHY

Banlieue 13/Banlieue 13 : Ultimatum/Brick Mansions

Comme Lock Out, Banlieue 13 (et son remake Brick Mansion) est un pompage éhonté de New York 1997. Avec des Yamakasi…

via GIPHY

Taken 2

Autant le premier était certes bas de plafond mais rudement efficace, autant cette suite bat des records quand il s’agit d’aligner les situations complètement aux fraises. Un ratage assez spectaculaire.

Taken 3

Besson a continué sur sa lancée. Non content d’avoir touché le fond avec le deuxième volet, il s’est mis à creuser avec cette suite…

via GIPHY

Malavita

Attention les yeux. Produit par Scorsese, doté d’un casting dominé par Robert De Niro et Michelle Pfeiffer, Besson a écrit et réalisé un film hommage parfaitement à côté de la plaque. Aussi pénible que gênant pour tous ceux qui y ont participé de près ou de loin. Peut-être le pire film de mafia du monde.

via GIPHY

Angel-A

Du pur Besson. Un homme rencontre un ange. Faussement arty, bourré de prétention, irritant, écrit n’importe comment, Angel-A fait presque de la peine.

via GIPHY

Wasabi

Ironiquement, ce buddy movie extrêmement mauvais est aussi insipide que la pâte verte à laquelle il emprunte son nom est épicée.

Il y en a encore beaucoup…

@ Gilles Rolland