Ce matin, j'ai entendu M.Fillon dénoncer un "cabinet noir" et qu'une sénatrice centriste comptait faire condamner les diffuseurs d'informations fausses ("fake news" en français). Un an de prison et quinze mille euros d'amende. Mais cela ne porte que sur Internet. Et que sur les gens qui relaient les nouvelles. Une fois de plus, c'est le petit peuple qui trinque et les hommes politiques peuvent dormir sur leurs deux oreilles ?
Et le premier avril ? me suis-je demandé. Tous en tôle, sauf les pisse-vinaigres ?
(J'espère que je n'ai pas diffusé une "fake news"...)