Surtout ne prenez pas cette expression au 1er degré : du planteur que m’avait préparé mon mari on aurait pu dire qu’il était fort à réveiller un mort. En réalité, ça a été plutôt le contraire. Le peu que j’ai pu en boire m’a fait tousser, cracher, m’étouffer. Le reste a fini dans l’évier et moi, somnolente, sur le canapé.
- Et réveillée en sursaut par les copains inquiets qui me secouaient comme un prunier pour savoir si j’étais toujours vivante. Vivante, oui, mais un mal de crâne !
- Ne me parlez plus de planteur, vous risqueriez de réveiller le chat qui dort et en rappelant de mauvais souvenirs de me mettre de très mauvaise humeur.