De Drakengard à NieR, les créations de Yoko Taro revendiquent leurs choix de design audacieux et leur narration alambiquée, deux subterfuges qui bousculent les conventions et font oublier, dans le meilleur des cas, les errances techniques et les séquences borderline. NieR Automata s'inscrit lui aussi dans cette lignée de jeux éparpillés façon puzzle, imposant au minimum trois à quatre parcours pour enfin démêler les noeuds du scénario imaginé par l'homme au masque d'Emil. Au risque de s'embourber dans un trop plein d'ambition ?
Voir l'article : Test : NieR Automata