Qui dit montre GPS outdoor dit gros budget. Ce sont des montres qui sortent généralement entre 400 et... une limite qui n'arrête pas de grimper (500 et même plus avec la Spartan Ultra et la Fenix 5X).
TomTom avait jusqu'ici ciblé le marché des sportifs 'loisir' avec des montres cardio GPS tout compris, une interface simple d'utilisation et un lecteur de musique pour se passer de son téléphone.
Et voici l'Adventurer.
C'est la montre qui va à l'encontre des 2 préjugés ci-dessus.
- L'Adventurer est sortie à 299€ et on la trouve déjà pour un petit peu moins cher.
- Elle se démarque des autres montres GPS TomTom par une orientation plus outdoor : une boussole, un altimètre barométrique, le suivi d'itinéraires, des fonctionnalités pour le ski.
TomTom a réussi à se faire une place sur le marché des wearables en choisissant soigneusement des fonctionnalités clés et les intégrant dans un produit fonctionnel et accessible à qui n'est pas geek. Alors commençons le test de l'Adventurer pour voir si c'est une nouvelle fois le cas.
Présentation de la TomTom Adventurer
Elle remplace : aucune, c'est une nouvelle montre cardio GPS
Au-dessus dans la gamme : aucune, c'est le haut de gamme chez TomTom
En-dessous dans la gamme : Runner 3
TomTom a quelque peu revu le design de sa montre GPS. On retrouve l'écran qu'on connait sur les Runner 2 et Runner 3, la commande unique par le bouton joystick carré et le boitier qui se détache du bracelet. Mais c'est au niveau du bracelet justement qu'ont eu lieu les modifications. Oubliés la fermeture par ergots, TomTom est revenu à un bracelet classique avec une boucle et un passant. Je ne sais pas ce qui a motivé ce choix. Perso, j'aimais bien l'ancien système d'attache, il tenait bien et était confortable. Le nouveau système a un inconvénient, le passant est fin et a tendance à glisser, ce qui libère régulièrement le bout un bracelet. C'est un peu pénible car il faut le remettre ou le réajuster au moins une fois par jour.
L'autre évolution au niveau du bracelet, qui s'explique par son orientation aventurière, c'est que la partie qui encadre l'écran a été surmontée légèrement, dans le but de protéger l'écran des rayures. Après, toute cette couronne est en plastique, donc des rayures, il y en aura.
Dans sa version de base, le boitier, le bouton et le passant sont noirs, tandis que le bracelet est orange. C'est flashy mais j'adore cette association. Ca lui donne une franche personnalité.
L'ensemble pèse 56g, c'est-à-dire quelques grammes de plus que les versions précédentes (50g pour la Runner 3, 51g pour la Runner 2). Plus largement, ça en fait quand même la plus légère des montres GPS outdoor, même comparée à la petite Fenix 5S (67g).
La navigation dans les menus se fait toujours par le bouton carré unique, qui permet d'aller à gauche (tracker d'activité), à droite (profils d'entrainement), en haut (musique) et en bas (paramètres) pour évoluer dans les menus et options. Si vous connaissez déjà l'interface des montres GPS TomTom, vous ne serez pas perdu, c'est la même. Pour allumer le rétro éclairage, il suffit de poser la paume de la main sur l'écran.
Au dos se trouve toujours le capteur cardio de LifeQ, intégré par TomTom. Il est activé en permanence pendant une activité et par intermittence durant toute la journée. La fréquence cardiaque au repos en est déduite, mais n'est visible que sur TomTom Sports, pas directement sur la montre.
Par rapport à la TomTom Runner 3, qui ajoutait déjà la navigation aux fonctionnalités de la Runner 2, les nouveautés sont :
- Des nouveaux modes sportifs (trail, ski, snowboard)
- Un altimètre barométrique, utile pour mesurer plus précisément les dénivelés
- Des nouvelles métriques, comme la pente
- Un nouveau mode d'enregistrement GPS (1 point toutes les 2 secondes) pour augmenter l'autonomie du mode randonnée jusqu'à 24h
La liste de profils sportifs est donc : course à pied, course sur tapis, trail, randonnée, vélo, vélo en salle, natation en piscine, ski, snowboard, gym, freestyle et chrono. Ce n'est pas aussi complet que sur une Fenix 3 HR, qui a, entre autres, des profils tennis, golf, stand up paddle, ou la Spartan Ultra qui a même un profil cheerleader. Toujours pas de mode triathlon non plus. Mais bon, je pense que cette liste couvre les besoins de la majorité des sportifs. Il manque peut-être un mode kayak, car c'est le genre d'épreuve que l'on trouve quand même assez régulièrement sur les raids multi-sports. Ah et ne me demandez pas quelle est la différence entre le mode ski et le mode snowboard, je n'en ai pas trouvé.
Le suivi d'itinéraire n'a pas changé par rapport à ce qu'on a découvert sur la Runner 3. Pas changé en mal, mais pas en mieux non plus. C'est-à-dire qu'on ne peut toujours pas tracer un itinéraire sur le site TomTom MySports. On peut bien importer des itinéraires sur l'Adventurer, mais il faut le tracer sur un autre site, exporter ce tracé en un fichier GPX sur votre ordinateur, importer ce fichier GPX sur TomTom puis le transférer vers la montre avec TomTom MySports Connect. Ca ajoute des étapes pas forcément simple pour qui n'est pas habitué à la technologie. Dommage.
Mais une fois que c'est fait, l'utilisation des itinéraires est simple. Il suffit de calibrer la boussole en effectuant des mouvements du poignet en 8, choisir l'itinéraire (attention à bien penser à donner un nom intelligible à votre fichier GPX avant de le charger, sinon vous allez vite ne plus vous y retrouver) puis lancer une activité sportive.
On peut aussi utiliser une activité de l'historique et le transformer en itinéraire à suivre. Il est possible de stocker jusqu'à 15 itinéraires sur la montre.
Malgré son orientation outdoor, TomTom a quand même choisi d'intégrer un lecteur de musique à l'Adventurer. Ca comprend donc 3Go de mémoire pour stocker les musiques, une liaison Bluetooth pour coupler des écouteurs sans fil et un lecteur mp3. Mais là encore, aucune évolution par rapport à ce qu'on connaissait sur la Runner 2. C'est-à-dire qu'on ne peut toujours transférer que des playlists et pas des morceaux de musique un par un.
L'autonomie est d'une dizaine d'heures en enregistrement cardio + GPS (11h officiellement). Mais attention, elle tombe rapidement à 5h si vous utilisez le lecteur de musique en plus. C'est faible par rapport à ce qu'on trouve sur les autres montres outdoor, qui tournent plutôt autour de 15-20h. Le mode randonnée pousse l'autonomie au-delà de 14h (je n'ai pas testé plus loin) en dégradant un peu la précision GPS, TomTom annonçant une autonomie à 24h (je pense qu'il vaut mieux tabler sur 20h).
L'Adventurer fait encore une concession mineure par rapport aux autres montres GPS outdoor plus haut de gamme : elle ne mesure pas la température. Mais on sait la température relevée est rarement exploitable, car le capteur de température est influencé par la chaleur émise par le corps. Je ne m'en sers qu'en bivouac, en enlevant ma montre pour savoir quelle température il fait au réveil. Attention, ça ne veut pas dire que ce capteur ne sert à rien sur les autres montres ! Il est généralement utilisé pour ajuster les mesures de pression atmosphérique, qui dépendent de la température.
Vous ne trouverez pas de paragraphe sur les fonctions connectées dans ce test de l'Adventurer, parce qu'il n'y en a pas. OK, on peut la coupler avec un smartphone pour transférer les données sans fil, mais c'est tout.
Champs de données
- Chrono (durée, heure)
- Distance
- Cardio (fréquence cardiaque, zone de cardio)
- Allure (instantanée, moyenne)
- Vitesse (instantanée, moyenne)
- Dénivelé positif total
- Pente
- Calories
- Cadence (vélo)
- SWOLF (natation)
- Nombre de longueurs (natation)
- Nombre de mouvements (natation)
- Altitude (trail, randonnée, ski et snowboard)
- Delta d'altitude entre le lieu actuel et le point de départ (trail, randonnée, ski et snowboard)
- Nombre de descentes (ski et snowboard)
- Vitesse max (ski et snowboard)
- Dénivelé négatif (ski et snowboard)
- Pente max (ski et snowboard)
Course à pied
Ce qui distingue l'Adventurer de la Runner 3, c'est l'ajout d'un mode trail, en plus du mode course à pied et course sur tapis. Le mode trail permet d'afficher certaines données complémentaires (altitude, dénivelé, pente).
Sinon, on retrouve tout ce qu'il faut pour la course à pied. La possibilité de programmer des séances d'entrainement directement sur la montre :
- Par objectif : distance, temps, calories
- En fractionné : échauffement, travail (distance ou temps), repos (distance ou temps), nombre de séries, récupération
- Par tours : manuel ou automatique (distance ou temps)
- Par zone : allure, vitesse ou cardio
- Avec un partenaire virtuel : soit configuré manuellement, soit suivant une activité précédente de votre historique
Le système de personnalisation des écrans n'a toujours pas changé. On retrouve une donnée principale (en gros) et 2 données complémentaires en bas à gauche et à droite (en petit). Pendant l'activité, les 2 données du bas sont personnalisables et seront affichées sur tous les écrans de donnée (sans changer). Ensuite, vous pourrez changer d'écran pour afficher une donnée principale différente. Le problème de ce système, c'est qu'il faut parfois appuyer 4, 5 ou 6 fois pour passer d'une donnée à une autre, car vous devez faire défiler tous les écrans ; il n'est pas possible de choisir l'ordre selon lequel les données se suivent.
Du côté des capteurs externes, il est possible de coupler une ceinture cardio Bluetooth, mais pas de footpod.
Randonnée
C'est rare que je fasse un paragraphe spécifique pour la randonnée, j'en parle en général dans un paragraphe 'autres sports'. Mais là, j'ai senti qu'il serait intéressant de le séparer.
Premièrement parce que pour ceux qui cherchent une montre GPS pour faire principalement de la randonnée, le suivi d'itinéraire est utile, une fonctionnalité qu'on trouve généralement sur des montres haut de gamme. Sauf que pour faire de la randonnée, on en a que faire d'avoir un mode triathlon et des running dynamics. A moins de 300€, l'Adventurer est donc une option intéressante.
Deuxièmement, TomTom a implémenté pour la première fois un second mode de précision GPS, qui augmente l'autonomie du profil randonnée à 24h. La position GPS ne sera relevée que toutes les 2 secondes, ce qui dégradera la précision, mais restera acceptable compte tenu des faibles vitesses de déplacement en randonnée.
Même si on n'a pas pré-chargé un itinéraire à suivre avant de partir, on peut quand même consulter pendant l'activité l'écran avec la trace que l'on a déjà parcourue. Attention, je parle bien ici d'un écran noir sur lequel apparait la trace en blanc, pas d'un écran affichant la carte. L'utilité de cet écran peut être de retourner à son point de départ au cas où l'on est un peu perdu. Il est facile de suivre l'itinéraire à rebrousse-poil ou alors de se diriger en direction du point de départ de manière plus directe.
Après, le suivi d'itinéraire proposé sur le Runner 3 et l'Adventurer est quand même moins complet que sur d'autres montres GPS outdoor plus haut de gamme. On ne peut pas lire ni enregistrer les coordonnées du point où l'on se trouve et on ne peut pas faire de la navigation via des points d'intérêt.
Enfin, ce mode randonnée pourrait tout à fait être utilisé pour les ultra qui auraient besoin de plus de 10h d'autonomie.
Ski
L'ajout d'un altimètre barométrique permet l'introduction de 2 nouveaux modes : ski et snowboard. Bon en fait il s'agit véritablement d'un nouveau mode, car il n'y a aucune différence entre les 2. L'intérêt dans ces modes, c'est que l'Adventurer va détecter automatiquement les phases de montée et de descente. Elle va même vous afficher un écran récapitulatif de votre dernière descente, que vous pourrez consulter pendant que vous serez sur le télésiège par exemple.
La montre va mesurer des données comme la pente max, le dénivelé négatif, la vitesse max et la distance. Après, on a accès dans ces modes à d'autre données comme le cardio ou les calories, mais je n'en vois pas l'utilité (et dans mes tests, le cardio a toujours mal fonctionné en ski).
Le bracelet n'est pas très long et ne permet clairement pas de porter la montre par-dessus la manche d'une veste.
Autres sports
En vélo, il est possible d'appairer un capteur de vitesse/cadence Bluetooth. Sinon, tout est exactement pareil que pour le mode course à pied, à la petite différence que la vitesse pourra remplacer l'allure.
En natation, il est utile de mentionner que le capteur cardio ne fonctionne pas dans l'eau, comme sur toutes les autres montres cardio sans ceinture. L'Adventurer ne dispose que d'un mode natation en piscine, pas en eau libre. C'est-à-dire qu'elle ne peut mesurer la distance que en comptant le nombre de longueurs parcourues (attention à bien configurer la longueur de la piscine avant de plonger).
Après avoir nagé, on a quand même peu de statistiques à analyser sur le site. Juste la distance, la vitesse, la durée et un graphique de vitesse. Ca fait maigre quand même.
Pour tous les autres sports, il existe dans le menu un profil Freestyle qui pourra servir un peu à tout.
Précision GPS et cardio
Je n'attendais pas de surprise de l'Adventurer, ayant déjà testé la Runner 3 et avant elle, la Runner 2. J'avais trouvé la Runner 3 au top, aussi bien au niveau de la précision GPS que du suivi du cardio.
En terrain dégagé, il n'y a rien à redire. La trace est propre, belle en ligne droite et sur l'exemple ci-dessous, l'Adventurer est pile sur l'itinéraire que j'ai emprunté, alors que la Garmin et la Polar sous-virent.
Si vous vous demandez quel est l'impact de l'augmentation de l'autonomie dans le mode randonnée (1 point GPS toutes les 2s) sur la précision, voici une illustration claire sur une sortie en ski de randonnée. En montée (partie du haut de l'image), j'ai progressé à une moyenne d'environ 3km/h. On voit que la trace de l'Adventurer suit la trace de la Forerunner 735XT qui était en mode GPS 1s et reflète bien mon itinéraire. Dans la descente, en revanche, les choses se passent différemment (partie du bas de l'image). Ma vitesse sur cette portion oscillait entre 20 et 40km/h. Dans une telle configuration, 1 point toutes les 2 secondes n'est plus satisfaisant. Les virages sont coupés et à l'arrivés, cela crée une erreur de 500m (presque 6% de moins).
Un autre exemple où l'allure générale est bonne, mais les pics au-dessus de 180 sont loupés.
En VTT, les sollicitations du poignet compliquent la tâche du capteur cardio optique. Et les résultats sont largement moins bons.
Tracker d'activité
On accède à la partie tracker d'activité par une pression du bouton vers la gauche. On peut lire sur différents écrans le temps de sommeil, le nombre de pas, le nombre de calories brûlées, la distance parcourue, le temps d'activité. Une nouvelle pression vers la gauche et on découvre les mêmes écrans mais affichant les totaux sur la semaine.
Ce qu'il manque, c'est un écran qui permettrait d'afficher la fréquence cardiaque à la demande et un autre avec la fréquence cardiaque au repos. Cet oubli est d'autant plus surprenant que la fréquence cardiaque au repos est bien enregistrée sur le site MySports.
Sur le site ou l'application, on retrouve plein de graphiques (des histogrammes affichant ces données jour par jour) et aussi des moyennes mois après mois et sur toute l'année. C'est assez bien fait et on peut bien voir les évolutions.
La nouvelle application TomTom Sports
L'application MySports a depuis toujours été en dessous de ce que la concurrence offrait. Moins de possibilités d'analyse, moins de fonctionnalités. Mais TomTom l'a transformé et sorti une nouvelle application pour smartphones qui s'appelle désormais Sports.
On a maintenant plus d'outils d'analyse, plus de graphiques pour visualiser les données. Bon, ça reste simple, puisque l'Adventurer ne mesure que des données de base (pas de running dynamics, pas de puissance, etc).
Dans le fil d'actualité, l'appli ajoute un petit commentaire qui replace l'activité parmi l'ensemble de vos entrainements, genre '3 e distance la plus longue' ou 'vous avez couru à peu près à la même vitesse que la moyenne lors de votre dernière course'.
Pour chaque activité, il y a 3 onglets : résumé, stats et fractions (tours). On a accès ensuite à pas mal de données, même celles qu'on ne peut pas afficher dans la personnalisation des écrans des certains modes (comme le D+, D-, cadence). Je ne sais pas pourquoi TomTom a fait ce choix, ça ressemble presque à du Garmin. On peut visualiser sur des graphiques l'altitude, l'allure, la fréquence cardiaque, et les zones de cardio. Et l'onglet fractions permet d'entrer un peu plus dans le détail des statistiques le long du parcours.
C'est sur l'appli qu'il faudra se rendre pour voir votre fréquence cardiaque au repos. Elle ne s'affiche pas dans la partie tracker d'activité sur la montre, mais le capteur est bien activé durant la journée, ce qui permet de mesurer votre fréquence cardiaque au repos. Ensuite, vous pourrez vous servir de cette donnée pour personnaliser vos zones cardio pour l'entrainement (avec la fréquence cardiaque max).
Conclusion
Le nom est nouveau, mais cette Adventurer est en fait une Runner 3+ en version tout-terrain. On retrouve le savoir-faire de TomTom, qui préfère se concentrer sur le développement de montres GPS simples et fonctionnelles, sans aller chercher le raz de marée de statistiques qui en feraient des gadgets.
Elle reste assez orientée course à pied de par les données qu'elle mesure (et la possibilité de faire du fractionné), ajoute quelques modes sportifs qui permettent de l'utiliser en vélo et natation, mais offre plus de polyvalence que ses grandes sœurs avec les modes trails, randonnée et ski, l'alti baro et l'autonomie max portée à 24h.
TomTom va à contre-courant des marques comme Garmin ou Suunto, qui proposent des montres GPS toujours plus chères. Vu son prix, l'Adventurer va certainement intéresser pas mal de monde, tout simplement parce qu'aucune autre marque ne propose une montre GPS avec autant de fonctionnalités. Dans cette gamme de prix, la seule option qui pourrait lui faire de l'ombre sur une utilisation outdoor, c'est la Suunto Ambit3 Peak, dont le prix a bien baissé et qui est passée depuis peu sous la barre des 300€. Mais bon, l'Ambit3 Peak n'a pas de cardio optique ni de lecteur de musique. Pour avoir un cardio optique et un lecteur de musique à moins de 300€, il faut aller regarder du côté de certaines montres connectées sport, mais bon, les fonctionnalités pour le sport sont largement plus réduites que celles de l'Adventurer.
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