J'en suis simplement venu à conclure que patience, modération et temps de repos résoudraient le problème. C'est ainsi qu'en Janvier, alors que nous avions ces quantités phénomenales de neige poudreuse, j'ai volontairement manqué 17 jours de pur plaisir.
J'ai repris le ski en février, d'abord en douceur et toujours avec une genouillère. Bien vite j'ai retrouvé mes pentes et mes conditions de neige de prédilection. Peu à peu la douleur a diminué et finalement, depuis d'hier, je ne sens plus rien, ce qui prouve qu'il est toujours possible de guérir soi-même !