c'est le nom du petit immeuble dans lequel on habitait. il donnait sur le port à bois et la voie ferrée abidjan-ouagadougou. c'est là qu'on a vu pour la première fois des grappes humaines accrochées aux wagons. bien avant que ça soit montré à la télé. on n'en revenait pas.
la résidence bellini existe toujours, en moins bien, avec des grilles en plus, mais elle est toujours là. on est même rentrés dans un des appartements.
le port à bois d'alors aujourd'hui le carénage principal d'abidjan, vu de la fenêtre de l'autre appartement du palier
l'entrée. avant il n'y avait pas de grilles
la façade. là aussi qu'on a découvert les claustras. ces murs en briques trouées qui laissent circuler l'air.
le côté et l'escalier vers le jardin devant
autrefois il y avait là le portail qui menait à une villa. il a été muré et sur ce terrain est maintenant située une caserne. c'est d'ailleurs cette caserne qui s'est embrasée en décembre dernier.
l'ensemble a vieilli mais je l'ai reconnu tout de suite depuis la double voie en contre-bas. on n'a pas trouvé tout de suite l'accès mais on y est arrivé. le quartier est aujourd'hui fermé par un portail, sans doute à cause de la caserne. mais on est en afrique et le portail est toujours ouvert.