La mort de la vie, c’est la mort de la mort.
Dernier passage et rien enfin.
Entre les deux lèvres du néant,
ce si peu de bruits vagues, vite englouti.
***
André Frénaud (1907-1993) – Il n’y a pas de paradis (Gallimard, 1962)
La mort de la vie, c’est la mort de la mort.
Dernier passage et rien enfin.
Entre les deux lèvres du néant,
ce si peu de bruits vagues, vite englouti.
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André Frénaud (1907-1993) – Il n’y a pas de paradis (Gallimard, 1962)