Eh voilà les amis! Nous sommes le 15 du mois, c’est donc le moment tant attendu par tant d’entre vous: la review James Bond (surtout que la semaine prochaine il fera l’objet d’un thème au TFMA, rien que ça!)…
Ce mois-ci, c’est donc l’iconique Goldfinger qui fera les frais d’une review, comme toujours spoilerisante, et comme toujours sans langue de bois!
007 est lancé sur la piste d’Auric Goldfinger, un prominent contrebandier. Mais dans sa recherche de la vérité, James va perdre quelques alliés, et se mettre très en danger…
Je dois dire que j’étais quelque peu impatiente d’arriver à ce troisième opus de la saga, sachant qu’une scène iconique allait arriver.
J’ai été, comme toujours, assez déçue du traitement féminin dans ce film, sachant que la James Bond Girl qui meurt recouverte d’or n’était, après tout, l’amante de James que depuis cinq minutes. Franchement faudrait arrêter de nous faire passer pour des filles faciles, les gens!
Après, il a bien fallu que je reconnaisse que cet opus-ci était franchement meilleur que les deux précédents, en terme d’action, en termes de grand vilain, en terme de tout.
Goldfinger est un pourri comme il faut, et son interprète Gert Fröbe (un Allemand, quelle surprise!) a réussi à en faire un villain culte. Well done.
Moment culte n°2
Mais bon, certains détails sont toujours pourraves, rigolos à la limite. L’horloge de la bombe qui s’arrête pile sur 0:07; Pussy Galore la pilote au nom chelou qui, ô surprise, va se laisser convaincre par Zames de changer de camp; les vilains Chinois, tout ça, okay, mais à partir d’un moment, faut arrêter les bêtises!
Mis à part ces quelques détails enfantins, j’ai fortement apprécié ce film par rapport à ses deux grands frères et j’ai hâte de voir ce que le mois d’avril va m’offrir!
Note: 7/10 (scénario: 6/10 (un chouïa mieux) – jeu: 6/10 – BO: 8/10 (Dame Shirley Bassey je vous adore) – esprit Bond: 8/10)
Ça c’est cadeau: