Si vous me suivez un peu sur Instagram vous avez dû voir que je cours, ou tout du moins que je courrais régulièrement. Il y a de ça plusieurs années j’avais pour habitude de courir tous les dimanches matin, avec mes copinoux, nous nous donnions rendez-vous sur une base de loisir, et nous partions courir, parfois ensemble, parfois chacun à son rythme, mais à l’arrivée tout le monde s’attendait, nous papotions un peu, allions boire un coca. C’était notre petit rituel à nous, notre petite habitude. En plus de cela, nous participions assez régulièrement, ensemble, à des courses « officielles », 10 km, 20 km, le semi de Paris pour certains, bref, nous aimions courir, et on le faisait très régulièrement.
Et puis mon papa est tombé très malade, et rapidement les sorties running sont vite devenues un calvaire pour moi, me retrouver seule face à moi même, ne rien avoir à faire d’autre que de penser et cogiter pendant des km, seule, entourée de végétation et de silence, c’était trop pour moi, et j’ai vite déserté les footing du dimanche matin et les courses officielles.
Et puis il y a de ça quelques semaines, j’ai eu envie de m’y remettre, de bouger un peu mon popotin, de me débarrasser un peu de ce trop plein d’énergie et de colère accumulés depuis quelques mois. Sauf que j’ai cru que j’allais pouvoir recommencer à courir « comme avant », que j’allais retrouver le même rythme de course, que j’avais conservé mon cardio et mon endurance. Mouhaha, que j’étais naïve…
Clairement, lors de ma première sortie de « reprise », lorsque je me suis élancée et que j’ai fait mes premières foulées, un sentiment de bien être m’a envahie, comme si j’étais enfin de retour à la maison, comme si c’est là qu’était ma place, comme si mon corps me disait « enfin »…. Jusqu’à ce que je suffoque, que j’attrape un point de coté et que je devienne rouge comme une tomate tellement je n’en pouvait plus, que je me dise « mon Dieu je vais crever » et que je me rende compte en regardant ma montre que, pompon sur la Garonne, je n’avais pas encore atteint 1 km… Là j’ai clairement eu envie de pleurer (en suffoquant), de m’arrêter et de rentrer chez moi.
Mais j’ai tenu bon, j’ai certainement dû faire la course la plus merdique de ma vie, à un rythme tellement lent que j’ai honte de le mettre ici, mais cela m’a au moins permis de poser les bases, de me rendre compte que oui j’avais tout perdu, que je repartais de loin, mais que maintenant je ne pouvais que m’améliorer.
Depuis, je continue à courir régulièrement, mais j’ai aussi intégrer quelques trucs dans mon alimentation :
* De la poudre de Cynorrhodon bio de la marque Aristée (ici) :
Pour commencer, le cynorrhodon est le fruit de l’églantier, il se présente sous forme de baie comestible, de couleur rouge/orangée, avec une saveur douce et un peu sucrée. Il est riche en antioxydants (vitamine C, vitamine A, carotenoïdes et polyphénols) qui protègent l’organisme des agressions externes (stress …) et favorisent la récupération chez les sportifs
Pourquoi j’en consomme et quand ? Hyper riche en vitamine C (5 fois plus que l’orange à quantité égale) cette poudre aide à la récupération après l’effort, j’ai donc pris pour habitude d’en consommer après chaque sortie running ou à chaque fois que je fais du sport. Vu qu’il s’agit d’une poudre, j’en saupoudre donc (1 càc) par dessus un yaourt soja nature ou j’en mets dans un smoothie.
Je raffole de cette petite poudre, qui a un gout un peu sucrée, et qui est vraiment top pour la récupération, j’ai vraiment l’impression qu’elle aide à la récupération et diminue les courbatures.
* La boisson Aloe 2 Go de Forever :
Cette boisson est un mélange de pulpe d’aloé vera (83 %), de jus de myrtilles, de mures, de grenades, de framboises de raisin et de mangoustan. Riche en antioxydants et en vitamine C, cette boisson, prise de façon régulière, aide l’organisme à lutter contre le stress, la fatigue…
En règle générale je consomme cette boisson avant d’aller au yoga, j’en glisse un flacon (ça se dit comme ça ?) dans mon sac, et je bois ça sur la route, en voiture, ou tout de suite après mon footing, lorsque je rentre chez moi. Pour ce qui est du gout je dois dire qu’il est quand même un peu spécial, il est acidulé, pas forcément très sucré, personnellement cela ne me dérange pas, ça passe, mais pour le Barbu c’est rédhibitoire.
Pour conclure ?
Je n’ai toujours pas retrouvé mon « niveau » de course d’avant mon break, mais disons que petit à petit je m’améliore. A coté de ça cette poudre de Cynorrhodon m’aide vraiment pour la récupération et diminuer un peu les courbatures.