Rien de tout cela ne devrait surprendre. Quand l’industrie de la construction (ou la CCQ) fait son bilan chaque année, elle mesure son succès par le «nombre d’heures travaillées». Est-ce que ces heures ont été productives? Est-ce qu’on gaspille moins? Est-ce que le principal donneur d’ouvrage – le gouvernement – en a plus pour son argent?
Ce qui compte, c’est que «les gars» travaillent plus d’heures. Belle mentalité, qui explique plusieurs lois ridicules et inefficaces dans l’industrie.--- David Descôteaux