
Tous surveillés par des machines d’amour et de grâce (1967)Il me plaît d’imaginer (et
le plus tôt sera le mieux !)
une prairie cybernétique
où mammifères et ordinateurs vivent ensemble dans une harmonie mutuellement programméecomme de l’eau pure effleurant un ciel serein.Il me plaît d’imaginer(tout de suite s’il vous plaît !)une forêt cybernétiquepeuplée de pins et d’électronique où le cerf flâne en paixau milieu des ordinateurs comme s’ils étaient des fleursà boutons rotatifs.