A ton semblable ton sourire,
Le partage tout en plaisir,
Peu suffit pour rendre à ces jours la noblesse de leur amour,
Pour éveiller leur origine juste divine,
Face à ce peu la souffrance elle-même s’incline,
Se dérobe derrière l’élégance de l’espérance,
A ton semblable tes certitudes,
Les signes de ton bonheur vide de toute peur,
Les mots même peuvent être inutiles,voire si futiles,
A ton semblable la vérité,le témoignage de ton coeur en toute sincérité,
Oui par les grâces éminemment humbles de ta seule apparence,
Quand un regard jamais ne saurait mentir.