Critiques Séries : The 100. Saison 4. Episode 5.

Publié le 06 mars 2017 par Delromainzika @cabreakingnews

The 100 // Saison 4. Episode 5. The Tinder Box

Alors qu’en ce début de saison, tout semblait couru d’avance, cet épisode vient chambouler le cours des évènements et ce n’est pas plus mal.

Raven qui est le personnage le plus intéressant en ce moment ne va pas bien. Au-delà de sa blessure à la jambe, des séquelles du passage d’ALLIE se font ressentir. Et ce n’est pas la seule, puisque la mère de Clarke est également atteinte. L’issue de ces séquelles semblent la mort, or on ne peut pas imaginer la série sans ces deux personnages clés, d’autant plus qu’elles sont censé trouvé une solution pour sauver tout le monde.  Ceci est alarmant quant au fil de l’épisode, on se rend compte qu’il ne reste plus qu’eux comme espoir. En effet, les tensions entre la nation des glaces et les skye people ne cessent d’augmenter. Cela en devient même ridicule quand le roi annonce qu’il veut la guerre pour prendre le vaisseau qui les protègera des radiations. Clarke est également mis en avant et prouve encore une fois que c’est un mauvais leader. Elle est très douée pour tout ce qui est mission exceptionnel mais pas pour la politique clairement. Le pacte rapidement trouvé est aussi rapidement rompu quand le vaisseau explose à Arkadia.

Octavia est bien vivante et a pu prévenir son peuple mais elle a amené avec elle involontairement un terrien qui va tout faire exploser. Les espoirs de sauver leur peuple s’envolent et cela redonne de l’intérêt à la série. La scène est vraiment bien faite, apocalyptique, on sent que tout est perdu pour l’ensemble des personnages. Tout est tourné vers les malades Raven et Abby . L’intrigue est d’ailleurs captivante car on apprend qu’un retour dans l’espace est prochainement possible. C’est une très bonne nouvelle car c’est un lieu qui a été peu développé jusqu’à maintenant et qui pourrait avoir de l’intérêt dans l’avenir.

8/10 : En bref, tout est remis en question dans cet épisode, vivement la suite. 

Michael Lebrun