Que de doutes en notre conscience,
Pour qu’ils s’évanouissent nous faut-il rendre à l’oubli nos regrets,
Nous présenter sans autre peur à l’espérance,
Comprendre enfin qu’il nous faut accepter ce temps d’existence,
De notre coeur est-il son voeu des plus sincères,
De notre être son souhait des plus nécessaires,
Des souffrances mêmes se nourrit notre amour,
Jamais,ô grand jamais,notre éternité regrettera tous ces jours,
En vérité sont-ils les agents révélateurs de notre propre divinité.