De fait, il n'est pas rare, de voir des architectures (souvent temporaires) reyclant, avec une pointe de dérision, les signes glorieux de leurs aînés.Exemples récents:
Vienne 1898 : Pavillon de la Sécession - Joseph Maria Olbricht architecte. Fresques intérieures (Frises Beethoven) de Gustav Klimt. Au fronton: "A chaque époque son art, à l'art sa liberté". Gesamtkunstwerk ou l'art comme religion.
![Parodies architecturales](http://media.paperblog.fr/i/83/832701/parodies-architecturales-L-2.jpeg)
Tentons donc l'acclimatation du précepte marxien.
"Tous les grands faits de l'architecture adviennent pour ainsi dire deux fois, la première fois comme chef d'oeuvre, la seconde comme parodie".