plupart des dernières demeures commenceraient par un escalier de 30 marches menant à l'entrée principale.
Découvrirons-nous prochainement le style architectural de cette période ?
concerner toutes les lles qui auraient pu jouer en tout état de cause dans l' diverses interactions culturelles probables, ce évolution des populations nilotiques.
C'est en fait la "façon" de s'approprier une nouvelle culture... Cette dernière se construit au contact des autres, n'étant évidemment pas imperméable, totalement isolée,... Ainsi, la migration n'est pas la condition de "l'homme moderne", mais celle de l'humanité tout entière et ce depuis qu'elle a commencé son expansion !
L'acculturation serait donc ce genre de processus engendrant finalement :Ils pouvaient avoir été continus, directs, voir imposés dans le cas de figure d'une annexassion d'un nouveau territoire, d'une colonisation par exemple, planifiée, contrôlée, pouvant même ériger à long terme une nouvelle culture ...
Se référer pour cela en 1936 à travers les anthropologues américains Melville Herskovits, Robert Redfield, Ralph Linton,...
Nonobstant, l'acculturation ne devrait pas pour autant être synonyme de :
Dans ce cas de figure, nous pouvons envisager que deux entités finissent par se confondre pour n'en former qu'une seule finalement : une sorte de combinaison entre la culture d'origine et la nouvelle.
Une sorte d'ethnocide, c'est-à-dire d' une déculturation volontaire et programmée... ?
Cela ne représente certainement pas une conclusion en soit et ce sur une probable interprétation quant à l'évolution de la société pharaonique dans son ensemble ! Nous sommes bien dans le cadre d'appréhension, de compréhension,...
Et cela à la manière dont s'exprimait du reste S. Abou, op.cit, en page 23 et 24, l'acculturation :
En conséquence quelques questionnements peuvent dès lors être légitimement posés, tout au long de l'ère pharaonique, par exemple :Est-il possible d'envisager qu'il pouvait y avoir une véritable continuité ?
Une chose me semble cependant parfaitement certaine, la civilisation égyptienne fut bien a richesse d'une civilisation ce sont bien les échanges qu'elle peut avoir avec d'autres cultures, et surtout d'ailleurs la façon dont elle semble conserver certains facteurs culturels pour les transformer, avec sa vision propre, en traits spécifiques à elle-même, d'une façon originale !
Voici un magnifique pectoral, celui relatif à notre netjer enfant Ched. Un beau pendentif en métal précieux. Notons au passage, que cela ne fut pas toujours le cas...
Il semblerait qu'il devait avoir ce rôle, celui d'apporter une sorte de protection magique :
De la sorte, vous pouvez parfaitement y remarquer : Un netjer sauveur à n'en pas douter.Notre netjer ne préfigurerait-il pas finalement les fameuses stèles tardives dites d'Horus aux crocodiles ?
Ce type de stèle préfigurait visiblement
les stèles "D'Horus-sur-les-crocodiles".
© Musée du Louvre.
© G. Poncet.
Nous sommes bien au sein de cet art du Moyen Empire. Entre 2033 et 1786 avant l'ère du Christianisme, avec cette fantastique chapelle à piliers, blanche érigée visiblement par Sésostris I.
Et également de ces signes qui représentent une multitude de détails, identifiant même certains objets du quotidien de nos anciens comme du reste leur propre matière !
Et, même si personne ne connaît véritablement son emplacement d'origine, vous pouvez quand même l'admirer de nos jours et cela c'est grâce à l'anastylose d'Henri Chevrier datée de 1938. Nous sommes bien au près des chapelles d'Amenhotep I et de Thoutmosis I...
(P. Lacau, H. Chevrier "Une chapelle de Sésostris I à Karnak. Texte et planches" Le Caire en 1956)
Nous allons effleurer en quelque sorte les évènements comme les personnages qui ont permis l'avènement de la fameuse lignée des Sésostris...