à moins de l’ôter de sa mémoire
et de le remplacer par son suivant
et puisqu’il faut des mots
ils sont ce qui nous reste
quand tout le monde s’en va
***
Yves Boisvert (L’Avenir, Québec 1950 – Sherbrooke 2012) – Une saison en paroisses mauriciennes (Écrits des Forges, 2013)