On avait ici évoqué en janvier 2008 le possible triste sort de l’UBS compte tenu du prix très avantageux de son titre. On avait aussi imaginé que la seule solution, ou du moins la plus probable était que HSBC avale le “bon vieil établissement aux trois clés”.
En consultant les statistiques de visites très récentes sur ce blog, en particulier celles de banquiers privés genevois et zurichois qui consultent depuis avant hier le billet du 31 janvier 2008, on en tire la conclusion sans doute hâtive, que ce scénario est redevenu des plus plausibles.