Vient toujours l’instant où le corps ne peut mentir le désir du coeur,
Volonté d’aimer ou d’honorer son bonheur,
Cette intime noblesse qui ne s’exprime qu’en pure sagesse,
Quête de jouissance pour cette conscience en mal d’espérance,
Le corps ne peut mentir le désir du coeur quand il tait les peurs,
Qu’il s’avance vers l’amant de ce temps,
Cet être choisi pour son paraître,
Sera-t-il l’âme soeur,le frère aimant si sûrement,
Le corps ne peut mentir le désir du coeur,
Le choix de son maître amour en ces jours.