Quand l’être qui fait les lois ne s’en impose aucune qu’il ne s’étonne qu’on le chahute sans autre égard,
Lui l’élu,lui le représentant du pacte de confiance,
Comment peut-il trahir la commune évidence,
Sa richesse hors de toute sagesse nuira longtemps à sa profonde allégresse,
Les tourments de son dernier présent ne sont rien comparés à tous ces doutes,
Tous ces regrets pour longtemps en son coeur installés,
Son amour n’est en cause,il aime mais aime-t-il suffisamment quand il prélève sur le bien commun une part qui ne lui revient pas,
L’être qui fait les lois jamais ne pourra se soustraire à l’éternelle loi,
Elle qui régit en toute espérance nos consciences.