Verica. ben alors
et quand tu auras fini tes études
tu sais ce qu’il te reste à faire
Mirad. non
Verica. tu dois écrire l’histoire de cette guerre
pour que personne n’oublie
comme elle était horrible
et inutile
d’accord
Mirad. d’accord
Dans la version #1 de Mirad, un garçon de Bosnie, pièce d’Ad De Bont, l’Amin Théâtre proposait une forme brute dans laquelle les comédiens plongeaient le spectateur dans l’imaginaire de la guerre par la seule force des mots et du jeu. Si ce dispositif permettait à la pièce d’être jouée partout où cette parole constitue une nécessité, cette version #2 créée 6 mois plus tard intègre une forme scénique dans laquelle la scénographie, la musique et les lumières apportent au spectacle une dimension onirique…
Mon travail photographique fait écho à ce pari de proposer deux formes très différentes sur une même trame. Après une première série qui jouait la noirceur et la confusion des repères, voici donc, pour cette étape plus spectaculaire, une galerie forte en couleurs, lumières et géométries sous contrôle…
Tags: Communication graphique, Photographie