chien Lowry Ecole des Loisirs
Le livre :Il est classe, a le sens du goût, de la famille et fait des poèmes. Un jour sa mère abandonne la petite famille... Alors, troublé, Berger décide de partir vers son destin de chien...
Autour du livre :J'ai eu envie de lire ce lire, amusée par le titre " Mémoires d'un chien " et par la tête moqueuse du chien sur la couverture du livre (illustration de Catharina Valckx).
J'aime beaucoup les romans de Lois Lowry : la série "Anastasia Krupnik", les "Willoughby", "le passeur"... toujours plein d'humour, de fantaisie et développant un univers original qui plaît aux petits et grands.
J'ai beaucoup aimé ce roman plein d'humour et de fantaisies où le narrateur est le chien imaginé par Lois Lowry. On rit beaucoup des aventures de ce canidé fier de lui qui observe son univers avec humour.
Un roman à lire en écho à " Mémoires d'un âne " de la Comtesse de Ségur qui conte les aventures de l'âne Cadichon.
Un sketch à écouter en écho au roman de Lowry : " Mon chien c'est quelqu'un " de Raymond Devos. Un humoriste littéraire que j'aime beaucoup et dont j'ai beaucoup lu de sketchs ( livre donné par mon parrain) et écouté en version audio.
Lois Lowry est une écrivain américaine née en 1937.
La citation : " Je suis né dans le caniveau et j'ai grandi dans la pauvreté. Abandonné par mes parents, j'ai dû voler et mendier pour survivre. Puis, grâce à la chance et aux circonstances, le tout associé (excusez mon immodestie) à un esprit vif et à une magnifique apparence, je suis parvenu aux sommets splendides que sont la célébrité et la richesse. Finalement, je me suis retiré à la campagne pour y mener une vie paisible, entouré des miens. " " C'était, de fait, une belle chienne. Il y avait sans doute quelque colley parmi ses ancêtres. Elle avait le nez aristocratique d'un colley délicat_je ne nomme personne, mais vous savez tous à qui je pense- mais, contrairement aux colleys, maman avait une fourrure ambre aux boucles charmantes. Je suis né avec ces mêmes boucles naturelles et abondantes. Mes deux frères, moins favorisés physiquement, avaient le poil raide, et ma sœur- nous l'appelions Brindille-avait malheureusement le pelage clairsemé et une tache sur l'épaule. "