C’était le temps où on ne comptait le temps,
Le labeur durait de tout son nécessaire,
Chacun savait ce qu’il avait à faire,
Tous perduraient sans faillir,en tout plaisir,ce présent,
L’entraide,le partage,sans loi aucune,s’imposaient en toute leur noblesse,
Quand tous entendaient la parole de l’ancien,en vérité toute sa sagesse,
La faute ne s’ignorait,s’entendait et s’ordonnait en conscience,
Chacun recevait les conseils de l’espérance,
Tous ignoraient la peur car chacun savait cette réalité au service de son éternité.