Doux est l’amour, mais plus doux encore pour moi d’être en toi.
À l’heure où tu t’abandonnes, où tremblent les nerfs de ton cou. À l’heure où tu te perds en moi et où je maîtrise ta perte.
Toi, mer passive et passionnée, éternelle autant qu’éphémère au gré de tes humeurs, ruisselets, ravin où chantent des perdrix avec leurs griffes toutes rouges, toi et moi.
— Vassilis Vassilikos
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