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Growth hacking

Publié le 26 janvier 2017 par Christophefaurie
Growth hacking entre dans notre vocabulaire. Nouveau mot en "hack", comme hacker ou biohacking. Hack, veut dire tailler (à la hache ou à la serpe). A hack, c'est un journaliste qui pisse de la copie. De manière figurative, cela signifie faire une entorse sérieuse à la légalité et la bonne éducation. Au MIT, le hacker est appelé pirate. C'est un mal pour un bien, espère-t-on. Mais il peut être un "innovateur" au sens du sociologue Merton, c'est-à-dire un "pervers". Le pervers narcissique est un hacker. Il utilise les lois sociales à l'envers de leur esprit
Et en termes de croissance ? C'est donner la valeur monétaire maximale à un projet, le plus vite possible, qui justifie tous les moyens. C'est la comptabilité créative d'ENRON, et d'IBM des années 80. C'est surtout l'hormone du même nom. Mais donnée à l'autre, pas à soi. C'est Goldman Sachs et coquins.
Et si votre coiffeur vous proposait un hair hacking ?  Avant d'absorber une idée, ne faudrait-il pas s'interroger sur sa signification ?

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