Chaud devant. Dégagez devant moi. C’est le moment du coup de feu. Il faut que je fasse la présentation de l’entrée, que je retourne la viande, que je surveille les légumes et que je sorte les fromages. Alors ce n’est pas le moment de venir me dire qu’on a perdu ses lunettes ou son stylo bille ! Et le pain, il n’est pas encore coupé…
- D’accord ce n’est qu’un gros coup de collier à donner, beaucoup de travail en peu de temps.
- Un petit moment à tenir le coup, à résister.
- Si on ne me met pas de bâton dans les roues ! Surtout pas de coup tordu.
- Ce n’est pas le moment pour moi d’avoir un coup de pompe, un brusque coup de fatigue.
- D’autant plus que je ne peux hélas pas compter sur toi pour me donner un coup de main , m’aider. Mais au moins ne reste pas dans mes jambes, mains dans les poches. J’ai l’impression que tu me nargues.