Bien nourrir son cerveau
Apporter à notre organisme tous les éléments indispensables à un bon fonctionnement du cerveau. Des glucides (le cerveau consomme 140g de Glucose par jour). Les pâtes sont un excellent aliment pour le cerveau, mais aussi les légumes, les protéines : viandes, poissons, œufs durs sont également indispensables. Les corps gras, surtout des Oméga-3 (huile de poisson à prendre en gélules).
Il existe d’excellents compléments alimentaires apportant du Potassium (ION VITAL), du magnésium, du Phosphore et du calcium. Les vitamines du Groupe B.
Faire fonctionner son cerveau
En s’intéressant à beaucoup de choses. Etre actif : lire, jouer aux jeux où l’on doit réfléchir, avoir des hobbies, s’intéresser à la vie politique et économique, lire des livres, voir du monde, etc…
Avoir des activités est important, mais le sommeil l’est tout autant. Nous avons besoin de sommeil. Même les animaux dorment, ils ne peuvent pas s’en passer. Il est donc important de dormir la nuit et même de faire la sieste après le repas de midi. Ne pas prendre d’excitant le soir (café, thé).
Prendre des plantes médicinales calmantes comme la Valériane ou la Passiflore.
Ne jamais oublier que le cerveau, toujours en activité lorsque nous pensons, à besoin chaque jour d’un long moment de « silence radio ». Savoir se reposer surtout après 50 ans est essentiel.
Uiliser les plantes médicinales
D’autres substances sont également très utiles pour notre cerveau, notamment les substances contenues dans les plantes médicinales et qui sont neurotoniques, neurocalmantes ou neurorégulatrices, comme la Valériane, le Rhodiola, le Crocus,le Bacopa.
Un conseil phytothérapie
Le Crocus :
1 gélule, le matin et le midi
Le crocus se développe dans un climat sec et aride proche du climat méditerranéen. C’est du crocus que l’on tire le safran issu des stigmates de la plante qui sont séchés.
Riche en huile essentielle, et en vitamine, il agit sur le système nerveux et calme les douleurs tant digestives que menstruelles. La tradition le disait porteur de gaieté et certaines études cliniques en font aujourd’hui l’égal du plus célèbre antidépresseur : le prozac. Deux essais cliniques ont en effet été menés, pendant six semaines, chacun sur 40 sujets souffrant de dépression légère à modérés. Ces études se sont déroulées en Iran où, dans la médecine traditionnelle persane, on traite de façon courante la dépression par cette épice. Dans le premier essai clinique, les es du safran ont été comparés à ceux d’un placebo et les résultats ont indiqué que le premier était plus efficace que le second pour soulager les symptômes. Dans le second essaie, ses effets ont été comparés à ceux d’une molécule utilisée dans le cas de dépression : la fluoxétine, mieux connue sous le nom de Prozac. L’épice s’est révélée aussi efficace que le médicament et aucun effet indésirable n’a été noté lors de l’étude.