Maintenir des consommations élevées de fruits et légumes et privilégier encore les légumes,
Renforcer sa consommation de légumineuses (lentilles, fèves, pois chiches),
Privilégier les produits céréaliers les moins raffinés (pains, pâtes et riz complets ou semi-complets), Favoriser la consommation d'huiles végétales riches en acide alpha-linolénique (huiles de colza et de noix).
Limiter la consommation des boissons sucrées à un verre maximum par jour.
Les apports à limiter :Réduire considérablement la consommation de charcuteries (jambon, saucisson, saucisse, pâté, etc.) à 25 g par jour.
Limiter la consommation de viande (bœuf, porc, agneau, etc.) à 500 g par semaine.
Consommer du poisson en moyenne 2 fois par semaine dont si possible un poisson gras (omega-3).
Limiter sa consommation de sel en-deçà de la moyenne de consommation de la population française, la réduire chez les forts consommateurs. Idem pour le sucre en limitant l'apport d'aliments à sucres ajoutés.
une étude sera réalisée pour évaluer le statut en vitamine D de la population française et l'intérêt éventuel d'une supplémentation personnalisée, de recommandations d'exposition solaire ou d'un enrichissement des denrées en vitamine D piloté par les pouvoirs publics.
Enfin, l'exposition aux contaminants, plus que d'actualité , en particulier avec les niveaux préoccupants d'arsenic inorganique , et d'acrylamide , engage non seulement les industriels à faire des efforts de réduction mais également les consommateurs à tout simplement diversifier leur régime alimentaire. de plombAnses, 23 Jan, 2017 Actualisation des repères du PNNS : révision des repères de consommations alimentaires