⭐ L’année du flamant rose, d’Anne de Kinkelin
Nombre de pages : 208 pages
Éditeur : Charleston
Date de sortie : 6 janvier 2017
Collection : Littérature Générale
Langue : Français
ISBN-10: 236812120X
ISBN-13: 978-2368121207
Prix Éditeur : 18€
Disponible sur Liseuse : NonSon résumé :
Louise, Ethel, Caroline. Trois amies, joyeuses mais solitaires, partagent tout, leurs peines et leurs bonheurs, leur passion aussi pour les belles choses. Toutes trois sont des créatrices, des faiseuses de rêves, dans leurs ateliers qui se font face dans un passage parisien.
Louise, joaillière, crée des bijoux qui réjouissent le coeur et les yeux. Ethel, corsetière, réveille les sentiments et les sens des amoureuses éperdues (et des autres). Caroline, relieuse, redonne vie aux livres anciens, tout en rêvant la sienne. Toutes trois, passionnées, sont amoureuses de l’amour, mais celui-ci leur semble inatteignable…
Le jour où Louise s’entiche d’un flamant rose empaillé, superbe et quelque peu étrange, qu’elle installe dans son atelier, son regard sur la vie semble changer. Après sa rupture, elle est face à un défi : se relever, tenir debout, comme le flamant sur une patte, pour sa petite fille, Rose, malgré sa fragilité et les obstacles.
Cette année, les trois femmes sauront-elles trouver la force de se reconstruire ?
Mon Avis :
Un peu de douceur pour commencer 2017, c’est ce que nous propose Anne de Kinkelin avec l’histoire de Louise, Ethel et Caroline. Elles évoluent au sein d’un univers bohème et féminin, composé de bijoux, de tissus et de vieux livres, au cœur d’une impasse où elles se croisent un peu tout le temps et où elles ont noué une forte amitié. Alors que Louise divorce, Ethel et Caroline tentent de lui faire remonter la pente tout en s’occupant d’elles-mêmes et ce n’est pas toujours facile.
J’ai beaucoup apprécié les destins croisés de ces trois femmes à la fois modernes et en décalage avec notre société. Louise m’a beaucoup touchée dans son atonie suite à son divorce. Elle se relève pour sa fille mais aussi pour elle, car elle a l’espoir de retrouver l’amour. Avec son personnage, ce sont les premiers émois, le hasard, la beauté de l’amour qui nous sont montrés. Avec Caroline, c’est l’amour qui se développe petit à petit puis qui s’accélère tout à coup et s’épanouit dans d’adversité. C’est surement le personnage qui m’a le plus touchée par son histoire car elle représente le fait que la rapidité en amour n’est pas une mauvaise chose quand l’amour est évident. Quant à Ethel j’ai eu un peu plus de mal car c’est celle qui me ressemble le moins, elle s’empêche d’être amoureuse pour ne pas souffrir, et se faisant, elle fait souffrir les autres.
J’ai tout de même trouvé plusieurs longueurs, ce qui est dommage pour un roman aussi court. Mais ces longueurs ont participé à l’ambiance douce et mélancolique que l’auteur a mise en place depuis le début de l’histoire. C’est surement le seul reproche que je puisse faire, car hormis cela, le livre est vraiment bien. Anne de Kinkelin manie très bien les multiples points de vue et j’ai, au début, été surprise par l’insertion d’un point de vue masculin inconnu, qu’on ne comprend finalement que vers la moitié voir les trois quarts du roman.
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⭐ L’année du flamant rose, d’Anne de Kinkelin
Nombre de pages : 208 pages
Éditeur : Charleston
Date de sortie : 6 janvier 2017
Collection : Littérature Générale
Langue : Français
ISBN-10: 236812120X
ISBN-13: 978-2368121207
Prix Éditeur : 18€
Disponible sur Liseuse : NonSon résumé :
Louise, Ethel, Caroline. Trois amies, joyeuses mais solitaires, partagent tout, leurs peines et leurs bonheurs, leur passion aussi pour les belles choses. Toutes trois sont des créatrices, des faiseuses de rêves, dans leurs ateliers qui se font face dans un passage parisien.
Louise, joaillière, crée des bijoux qui réjouissent le coeur et les yeux. Ethel, corsetière, réveille les sentiments et les sens des amoureuses éperdues (et des autres). Caroline, relieuse, redonne vie aux livres anciens, tout en rêvant la sienne. Toutes trois, passionnées, sont amoureuses de l’amour, mais celui-ci leur semble inatteignable…
Le jour où Louise s’entiche d’un flamant rose empaillé, superbe et quelque peu étrange, qu’elle installe dans son atelier, son regard sur la vie semble changer. Après sa rupture, elle est face à un défi : se relever, tenir debout, comme le flamant sur une patte, pour sa petite fille, Rose, malgré sa fragilité et les obstacles.
Cette année, les trois femmes sauront-elles trouver la force de se reconstruire ?
Mon Avis :
Un peu de douceur pour commencer 2017, c’est ce que nous propose Anne de Kinkelin avec l’histoire de Louise, Ethel et Caroline. Elles évoluent au sein d’un univers bohème et féminin, composé de bijoux, de tissus et de vieux livres, au cœur d’une impasse où elles se croisent un peu tout le temps et où elles ont noué une forte amitié. Alors que Louise divorce, Ethel et Caroline tentent de lui faire remonter la pente tout en s’occupant d’elles-mêmes et ce n’est pas toujours facile.
J’ai beaucoup apprécié les destins croisés de ces trois femmes à la fois modernes et en décalage avec notre société. Louise m’a beaucoup touchée dans son atonie suite à son divorce. Elle se relève pour sa fille mais aussi pour elle, car elle a l’espoir de retrouver l’amour. Avec son personnage, ce sont les premiers émois, le hasard, la beauté de l’amour qui nous sont montrés. Avec Caroline, c’est l’amour qui se développe petit à petit puis qui s’accélère tout à coup et s’épanouit dans d’adversité. C’est surement le personnage qui m’a le plus touchée par son histoire car elle représente le fait que la rapidité en amour n’est pas une mauvaise chose quand l’amour est évident. Quant à Ethel j’ai eu un peu plus de mal car c’est celle qui me ressemble le moins, elle s’empêche d’être amoureuse pour ne pas souffrir, et se faisant, elle fait souffrir les autres.
J’ai tout de même trouvé plusieurs longueurs, ce qui est dommage pour un roman aussi court. Mais ces longueurs ont participé à l’ambiance douce et mélancolique que l’auteur a mise en place depuis le début de l’histoire. C’est surement le seul reproche que je puisse faire, car hormis cela, le livre est vraiment bien. Anne de Kinkelin manie très bien les multiples points de vue et j’ai, au début, été surprise par l’insertion d’un point de vue masculin inconnu, qu’on ne comprend finalement que vers la moitié voir les trois quarts du roman.
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