Un cri de détresse est aujourd'hui lancé par Catherine Begos. Elle est l'épouse d'un éleveur finistérien endetté. Et elle a décidé d'écrire une lettre, publiée par nos confrères de Ouest-France, dans laquelle elle dénonce les grandes surfaces et appelle les consommateurs à soutenir les fermes familiales.
Ces mots sont très forts. Elle évoque « un génocide paysan, une extermination programmée depuis des années ». Et indique que « bientôt, la France rurale que nous connaissons n’existera plus. Les fermes familiales n’existeront plus » pointant du doigt « un monde économique sans pitié ».
Ce nouveau cri de détresse n'est pas sans rappeler celui de la jeune Manon, 16 ans, fille d'éleveur laitier dans le Morbihan. En novembre dernier, elle avait également décidé de lancer un vibrant appel à l'aide sur les réseaux sociaux dans une lettre intitulée "Mon père, ce héros".
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