[CINEMA – CRITIQUE] : Assassin’s Creed, fidèle adaptation du jeu vidéo

Publié le 13 janvier 2017 par Dimitrivtn1

Réalisé par : Justin Kurzel

Avec : Michael Fassbender, Marion Cotillard, Jeremy Irons, Brendan Gleeson, Charlotte Rampling

Genre : Action, Science fiction

Durée : 1h56

Sortie : 21 décembre 2016

Adapter un jeu vidéo au cinéma n’est jamais chose facile. Pourtant, avec Assassin’s Creed, Justin Kurzel réussit son pari. Rassurez-vous, que vous soyez gamer ou non, vous comprendrez facilement l’histoire de film. Au cœur d’un monde virtuel Le film raconte l’histoire de Callum Lynch (Michael Fassbender), descendant direct d’une confrérie de l’ombre : les Assassins. Seulement, Lynch se retrouve dans une situation compliquée, il est à deux doigts de se faire exécuter pour un crime qu’il a commis. C’est à cet instant précis qu’il est récupéré par la multinationale Abstergo Enterprise, une géante de la recherche génétique. Grâce au génome de Callum, le Docteur Sophia Rikkin (Marion Cotillard) compte bien localiser la fameuse Pomme, un Fragment d’Eden qui aurait le pouvoir de contrôler l’agressivité de l’humanité. Au sein de l’Animus, une technologie qui plonge les patients dans le passé de leurs ancêtres, Callum va découvrir que son descendant, Aguilar de Nehra, a contribué à cacher l’artefact au temps de l’inquisition espagnole. Il va aussi se rendre compte qu’il est utilisé par les Templiers, les ennemis intimes de la confrérie des Assassins. Un casting de rêve au service d’un scénario classique Le scénario est certes basique mais quel casting ! Mené par un Michael Fassbender plus convaincant que jamais dans ce rôle d’assassin, les personnages sont tous très intéressants. Outre Fassbender, on retrouve une nouvelle fois Marion Cotillard, qui, visiblement a la côte dans des grosses productions hollywoodiennes. Charlotte Rampling apporte sa grâce naturelle au film et Jeremy Irons impose le respect. Synopsis : Grâce à une technologie révolutionnaire qui libère la mémoire génétique, Callum Lynch revit les aventures de son ancêtre Aguilar, dans l’Espagne du XVe siècle.  Alors que Callum découvre qu’il est issu d’une mystérieuse société secrète, les Assassins, il va assimiler les compétences dont il aura besoin pour affronter, dans le temps présent, une autre redoutable organisation : l’Ordre des Templiers.

Assassin’s Creed est un très bon divertissement. Que l’on connaisse le jeu ou non, vous passerez un très bon moment pendant près de deux heures. Un conseil, allez voir ce film ! La rédaction