House of cards... c'est le nom d'une série américaine qui a fait beaucoup de bruit pour dire qu'il ne faut pas en faire, si l'on veut en tirer profit. Motus et bouche cousue...
Cupidon seul est réel. Et la cupidité, sérielle... en série.
L'espèce humaine est trop vilaine. Les plus stupides périront.
Ne survivront que les plus cupides... les plus avides de chair et de sang.
Les grands saigneurs qui nous saignent pour régner et qui règnent pour nous saigner.
Deux nouvelles donnes : Une bonne et une mauvaise.
La bonne : nous avons toujours le choix...
La mauvaise : le choix entre deux calamités : le mal et le faux. Plus de qualité.
Le bien ou le vrai, c'est un manque de tact... un pacte sans impact.
Nous n'avons plus à faire qu'à des méchants ou des faux jetons. Que choisir ?
Pour assumer ou se consumer ?
Le vrai bâton ou la fausse carotte ?
Le grand méchant loup ou le faux chaperon rouge ?
Trump ou Obama ?
L'enfoiré ou le foireux ?
Le populiste ou l'humaniste ?
Le marteau blanc ou l'enclume noire ?
Et qu'est-ce qui rend si proches les termes de ce dilemme ?
C'est qu'ils ont le même problème. Un problème qui ne supporte aucune solution.
On l'appelle : l'ambition... qui définit bien le désir d'un monde qui tourne en rond en se disant : Où est le problème ?
On ne peut gagner sans courir à sa perte.
Pour ma part, je préfère la dynamite aux hypocrites.
C'est ma carence : avec un méchant, j'ai une petite chance. Avec un mauvais, je n'ai pas envie d'en avoir une.
Alerte ! Alerte !
Mais ne vous dérangez pas, parce que c'est une fausse alerte.