Où trouvera-t-il une femme aussi solitaire
En marge de la société
Pour affronter ensemble les derniers jours du monde ?
Et tout au bout de ce monde
Reconstruire le jardin d’Éden ?
Même si l’on recrée seulement
Un univers intérieur
C’est tellement plus difficile à faire que la révolution ou la subversion verbale !
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Gao Xingjian (né en 1940 à Ganzhou, Chine) – Le deuil de la beauté (Editions Simoncini, 2012) – Traduit du chinois par François Dutrait
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