On est bien, dans ce journal éclaté, aux fragments regroupés en thèmes vagues dont chacun est précédé d’un poème. On se retrouve avec lui dans un café de Montréal et, s’il n’y est pas à ce moment-là, on le rattrape à New York ou à Tokyo. On devient nomade à le suivre de loin, car il n’y a aucune raison de placer exactement nos pas dans les siens, il suffit d’épouser une trajectoire qui est un état d’esprit. Optimiste, l’état d’esprit : il voit autour de lui des amis se remettre à la lecture de la poésie.
On est bien, dans ce journal éclaté, aux fragments regroupés en thèmes vagues dont chacun est précédé d’un poème. On se retrouve avec lui dans un café de Montréal et, s’il n’y est pas à ce moment-là, on le rattrape à New York ou à Tokyo. On devient nomade à le suivre de loin, car il n’y a aucune raison de placer exactement nos pas dans les siens, il suffit d’épouser une trajectoire qui est un état d’esprit. Optimiste, l’état d’esprit : il voit autour de lui des amis se remettre à la lecture de la poésie.