Vincent Peillon a choisi sa manière de faire campagne. En étant abject et insultant.
Dernière en date, ses déclarations immondes sur les gens de droite : "la droite, c'est des gens qui considèrent qu'il y a des différences entre nous qui font que, par exemple, si nous n'avons pas la même orientation sexuelle : 'Moi j'ai le droit de ma marier, lui n'a pas le droit de se marier. Il est noir, il n'a pas le droit de vote'. C'est ça notre histoire depuis deux siècles".
Cet homme, qui prétend représenter le parti socialiste à l'élection présidentielle, m'insulte. Comme il a insulté hier les juifs, et avant hier les chrétiens. Cet homme est indigne.
Vincent Peillon a été ministre de l'éducation de ce gouvernement de gauche. Il est soutenu par des personnalités importantes comme le maire de Paris. Et il est donc candidat à une primaire organisé par un Parti Socialiste qui a maintenu comme président de l'Assemblée Nationale un Claude Bartolone qui avait également fait une campagne abjecte et insultante.
Je me demande comme la société pourra être apaisée et rassemblée. La droite répondra à ses insultes institutionnelles, comme elle a répondu aux déclarations ordurière de Bartolone aux régionales. Ca ne sera pas beau. Et le pays continuera à se fracturer, à se diviser.
Mais le philosophe opportuniste et parachuté Vincent Peillon aura été candidat. Lui qui n'honore pas son mandat de député européen. Il aurait mieux fait de rester dans son silence politique, car quand il est présent, il lui fait mal, à la politique...
Inquiet pour la suite.