Comprendra-t-il cet être appelé Homme qu’il fut animal,
Qu’il doit tant à ce végétal,
Que ce corps support de ses pensées trouve refuge et confort en ce minéral,
Cet être appelé Homme pose sa conscience en ce temps d’existence,
Pour lui le sens de toute une évidence par les voies sublimes de l’espérance,
Cet être appelé Homme tôt ne sera plus dense,
Il retournera à la vérité de son éternité,
Puisse enfin être moindre la somme de ses doutes,
L’ampleur de ses regrets,
Puissent avoir été fort utile à sa conscience ces images,
Ces échanges entre semblables,
Près de l’animal,de ce vénérable végétal appelé arbre,
Ou sous les voûtes majestueuses de cet ensemble minéral.