Du 5 au 24 janvier 2017, la Fondation Jérôme Seydoux-Pathé offre une carte blanche à la Cinémathèque de Jérusalem et à la Spielberg Jewish Film Archive. L’occasion pour les spectateurs franciliens d’avoir accès à un échantillon unique au monde de films muets – documentaires et fictions – tirés des archives cinématographiques israéliennes.
Les films présentés, tournés entre 1911 et 1935, sont l’œuvre de réalisateurs et de producteurs juifs qui ont expérimenté le cinéma dans la Palestine de l’empire Ottoman, puis dans la Palestine du Mandat britannique. Les œuvres qu’ils ont produites à cette époque ont subi l’influence des courants artistiques de leur temps. Très inspirés du cinéma révolutionnaire russe, ils ont souvent été conçus comme des outils pouvant aider à la construction d’une identité nationale.
La Cinémathèque de Jérusalem (Israël Film Archive) abrite plus de 32000 films et documents audiovisuels – beaucoup sont des copies uniques – qui représentent la mémoire collective israélienne. De son côté, La Spielberg Film Archive de l’Université Hébraïque de Jérusalem est la plus grande des collections de films documentaires juifs dans le monde (plus de 18000 titres). Créées en 1972, ses archives sont gérées en collaboration avec la direction des « Archives sionistes centrales » et regroupent beaucoup de films tournés antérieurement à la création de l’état d’Israël en 1948.
Leur programme offre un témoignage éloquent sur le talents et les centres d’intérêt des créateurs juifs qui se sont imaginés un destin dans la Palestine de l’époque.
Tous les films sont accompagnés au piano par les élèves de la classe d’improvisation de Jean-François Zygel, en partenariat avec le Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris.
Du 5 au 24 janvier 2017, la Fondation Jérôme Seydoux-Pathé offre une carte blanche à la Cinémathèque de Jérusalem et à la Spielberg Jewish Film Archive. L’occasion pour les spectateurs franciliens d’avoir accès à un échantillon unique au monde de films muets – documentaires et fictions – tirés des archives cinématographiques israéliennes.
Les films présentés, tournés entre 1911 et 1935, sont l’œuvre de réalisateurs et de producteurs juifs qui ont expérimenté le cinéma dans la Palestine de l’empire Ottoman, puis dans la Palestine du Mandat britannique. Les œuvres qu’ils ont produites à cette époque ont subi l’influence des courants artistiques de leur temps. Très inspirés du cinéma révolutionnaire russe, ils ont souvent été conçus comme des outils pouvant aider à la construction d’une identité nationale.
La Cinémathèque de Jérusalem (Israël Film Archive) abrite plus de 32000 films et documents audiovisuels – beaucoup sont des copies uniques – qui représentent la mémoire collective israélienne. De son côté, La Spielberg Film Archive de l’Université Hébraïque de Jérusalem est la plus grande des collections de films documentaires juifs dans le monde (plus de 18000 titres). Créées en 1972, ses archives sont gérées en collaboration avec la direction des « Archives sionistes centrales » et regroupent beaucoup de films tournés antérieurement à la création de l’état d’Israël en 1948.
Leur programme offre un témoignage éloquent sur le talents et les centres d’intérêt des créateurs juifs qui se sont imaginés un destin dans la Palestine de l’époque.
Tous les films sont accompagnés au piano par les élèves de la classe d’improvisation de Jean-François Zygel, en partenariat avec le Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris.