Pendant longtemps, on a classé la littérature d’anticipation comme une sous-littérature, avant que celle-ci ne passe, non seulement à cause de la déliquescence dans laquelle s’est progressivement enfermée la littérature générale, incapable de s’élever au-delà d’une écriture sans relief, et sans réel représentant moderne d’une mouvance qui nous sortirait de l’écriture et de la littérature du dimanche, de sous-genre, à genre total. La raison en est très simple.