A notre époque, l'intelligence humaine, se sent forcée de désigner chaque particule, onde, potentiel et interaction par un mot précis.
Chaque désignation sur un "sujet" de la physique devient donc un "objet" qui est comme le caillou qui ricoche à la surface de l'eau: il sera renvoyé d'autant plus durement à notre intention de le voir au-dessus de l'eau, que l'on s'approche de l'infiniment petit.
Cette modélisation d'un "trou noir" de Kerr a été reprise dans le cadre de l'étude du spin composite, parce qu'elle illustre très bien la "pulsation" et l'impact de la "présence" d'une particule -quelle qu'elle soit : électron, nucléon..- sur le champ de base analogique au potentiel de la constante de Planck.
Potentiel: en principe, toute association (dans cet article) de trame espace-temps
Constante de Planck (h) : association esp. / temps en e^5 / t². Le signe (^) signifie: "exposant"
Nous nous apercevons déjà sur l'image animée ci-dessus, que ce n'est pas la corpuscule-au-fond-du-panier qui "impacte" le champ de Planck (défini plus tard dans cet article): c'est le champ lui-même qui suit une emprunte pour constituer, faire vibrer à une certaine fréquence, cette corpuscule.
Cet article va prendre son temps pour être construit définitivement. a suivre