« Je suis proscrit, banni, exilé, séparé des miens, pauvre, errant frappé dans ma vie matérielle et publique, frappé dans ma famille, frappé au cœur, et pourtant quand je me tourne vers toi, il me semble que je vois le bon Dieu qui sourit.
Tu as été admirable, ma Juliette, dans ces sombres et rudes journées. Si j'avais eu besoin de courage, tu m'en aurais donné. Mais j’avais besoin d'amour et sois bénie, tu m'en apportais!»
Voilà qui nous paraît juste reconnaissance de dette, du dévouement sans faille de sa précieuse maîtresse
Je vous souhaite, chers visiteurs, un merveilleux passage à l'an neuf
Apolline Elter