Le Docteur Abdesselam est un médecin spécialiste en médecine physique. Rien donc dans cette formation, ne le destinait rencontrer l’univers de poètes arabes fou Abou Oumaida El AAraji et de son livre le necropandomenium.
En effet, c’est au décours d’un séjour en Orient pour raisons professionnelles qu’un jeune adolescent probablement d’origine irakienne lui remit un livre, en lui demandant de ne pas essayer de le lire.
Le médecin garda cet ouvrage, qui semblait être un incunable, plusieurs années.
Après son retour en Europe, il décida enfin d’enfreindre la règle de l’adolescent, et donc de prendre connaissance de son contenu.
Non seulement le contenu de ce livre le plongeant dans un profond désarroi, mais il créa angoisse plus profond lorsque le médecin découvrit que le poète Abou Oumaida el Aarajii, était cité dans certains livres arabes d’ésotérisme, et que si quelqu’un devait prendre possession de ce livre, il devait s’en débarrasser immédiatement. Peut-être est-ce ce que ce jeune adolescent avait fait jadis quand il le remit au docteur ?
Par curiosité, le médecin demanda le concours d’un ami pour lui donner son avis.
Celui-ci fut pris d’une telle frayeur qu’il quitta les lieux à vive allure.
Le médecin continua donc sa lecture en solitaire après avoir surmonté sa terreur.
Le livre qui s’appelle le necropandomenium était divisé en réalité en deux ouvrages distincts.
Le livre des ténèbres dont le contenu est si effrayant, que le médecin le détruisit.
Le second ouvrage s’appelle le livre des lumières et parle de la création du necropandomenium.
C’est une partie du livre des lumières traduit par le Docteur Abdesselam Bougedrawi qui vous est présenté.
Bien que cette traduction concerne un livre ancien, il est interdit de la reproduire sans la permission de l’auteur.
Ouvrage disponible chez Amazon kindle.