La Russie est à terre, affirmait The Economist. Elle ne se relèvera pas des sanctions occidentales. La presse, d'une manière générale, dit du mal de M.Poutine. Pourtant, en 2016, M.Poutine a triomphé des forces du bien. En Syrie, il paraît avoir vaincu. On ne parle plus de l'Ukraine, qu'avec embarras, et de M.Trump à M.Fillon, il ne semble plus avoir que des amis. D'ailleurs, en France et aux USA, ne suit-on pas son exemple : et si l'on donnait de l'argent aux militaires ? La relance par la guerre froide ?
(Tolstoï avait vu juste : il y a des mouvements sociaux d'Ouest en Est puis d'Est en Ouest ?)