La fille de Kali de Céline Denjean
Broché : 504 pages
Éditeur : Marabout
Collection : Marabooks
Date de sortie : 28 septembre 2016
Langue : Français
ISBN-10: 2501114477
ISBN-13 : 978-2501114479
Prix éditeur : 19,90€
Disponible sur liseuse : OuiRésumé :
Toulouse : Éloïse Bouquet, de la Section de Recherches de la Gendarmerie, découvre Maurice Desbals, un ingénieur a priori sans histoire, dont le corps décapité a fait l’objet d’une macabre mise en scène : sur le mur, un swastika tracé avec le sang de la victime et, au pied du lit, un tas de piécettes et des pétales de fleurs faisant penser à une offrande. La tête du défunt, quant à elle, demeure introuvable…
Vengeance, règlement de comptes, acte de barbarie à connotation sectaire ?
Alors que l’enquête peine à démarrer, un meurtre identique est perpétré un mois plus tard à quelques kilomètres de la ville rose. Le spectre redouté d’une tueuse en série s’inspirant de la déesse Kali se matérialise alors…
Tandis que le capitaine Éloïse Bouquet et son équipe, aidés par un profileur, tentent de remonter la piste de cette psychopathe hors norme, Amanda Kraft, jeune et ambitieuse journaliste d’investigation, et Danny Chang, détective privé enquêtant de son côté sur un prétendu suicide, mènent chacun de leur côté des enquêtes parallèles qui vont les mener jusqu’à l’antre de la tueuse…
Mon avis :
Pour celles qui me connaissent, ce n’est pas une surprise de voir que je chronique (encore) un thriller. Il s’agit indubitablement de mon type de lecture préféré et à force je suis devenue plus exigeante. Ayant d’excellents avis sur Amazon, je me suis lancée avec celui-ci.
L’histoire en elle-même est déjà originale. C’est la première fois que je lis un thriller où l’Inde a une importance (que cela soit avec le swastika, l’offrande ou le nom « Kali » qui est dans le titre). J’ai d’ailleurs trouvé que l’auteure avait fait un effort de recherche considérable pour écrire ce roman. Les experts sonnent justes et donnent des explications correctes et non tirées par les cheveux.
Une autre originalité est que nous n’avons pas affaire à un tueur mais à une tueuse (pas de surprise, c’est annoncé surla 4ème de couverture). C’est assez rare pour être mentionné. La plupart du temps, quand nous avons une tueuse, il s’agit d’une femme « passive » qui empoisonnera ses victimes ou qui ne se mouillera pas les mains. Là pas du tout !
La narration est intéressante aussi : chaque chapitre est dédié à un personnage et donc écrit sous sa vision. Nous alternons entre une journaliste, la femme policier en charge de l’affaire et un détective privé. Ces chapitres sont tous écrit à la troisième personne du singulier. Les seuls chapitres écrits avec la première personne se trouve à chaque début de partie et m’ont beaucoup intriguée. Tout se révélant dans les dernières parties du livre.
Cette narration est le genre que je préfère car elle permet de connaître tous les points de vue et a une tendance à vouloir te faire tourner les pages. Les chapitres courts aidant encore plus à cette dynamique de page-turner.
La conclusion est très bonne mais assez particulière. Je n’avais vu ça dans un thriller, cela m’a semblé étrange mais ne m’a pas déçue.
Je conseille ce livre aux personnes adorant les policiers et les thrillers. Je pense que tous ces points feront que vous adorerez ce livre. Pour les néophytes, cela peut être une bonne entrée en matière ; commencer avec un excellent livre est toujours une bonne façon de faire !
La fille de Kali de Céline Denjean
Broché : 504 pages
Éditeur : Marabout
Collection : Marabooks
Date de sortie : 28 septembre 2016
Langue : Français
ISBN-10: 2501114477
ISBN-13 : 978-2501114479
Prix éditeur : 19,90€
Disponible sur liseuse : OuiRésumé :
Toulouse : Éloïse Bouquet, de la Section de Recherches de la Gendarmerie, découvre Maurice Desbals, un ingénieur a priori sans histoire, dont le corps décapité a fait l’objet d’une macabre mise en scène : sur le mur, un swastika tracé avec le sang de la victime et, au pied du lit, un tas de piécettes et des pétales de fleurs faisant penser à une offrande. La tête du défunt, quant à elle, demeure introuvable…
Vengeance, règlement de comptes, acte de barbarie à connotation sectaire ?
Alors que l’enquête peine à démarrer, un meurtre identique est perpétré un mois plus tard à quelques kilomètres de la ville rose. Le spectre redouté d’une tueuse en série s’inspirant de la déesse Kali se matérialise alors…
Tandis que le capitaine Éloïse Bouquet et son équipe, aidés par un profileur, tentent de remonter la piste de cette psychopathe hors norme, Amanda Kraft, jeune et ambitieuse journaliste d’investigation, et Danny Chang, détective privé enquêtant de son côté sur un prétendu suicide, mènent chacun de leur côté des enquêtes parallèles qui vont les mener jusqu’à l’antre de la tueuse…
Mon avis :
Pour celles qui me connaissent, ce n’est pas une surprise de voir que je chronique (encore) un thriller. Il s’agit indubitablement de mon type de lecture préféré et à force je suis devenue plus exigeante. Ayant d’excellents avis sur Amazon, je me suis lancée avec celui-ci.
L’histoire en elle-même est déjà originale. C’est la première fois que je lis un thriller où l’Inde a une importance (que cela soit avec le swastika, l’offrande ou le nom « Kali » qui est dans le titre). J’ai d’ailleurs trouvé que l’auteure avait fait un effort de recherche considérable pour écrire ce roman. Les experts sonnent justes et donnent des explications correctes et non tirées par les cheveux.
Une autre originalité est que nous n’avons pas affaire à un tueur mais à une tueuse (pas de surprise, c’est annoncé surla 4ème de couverture). C’est assez rare pour être mentionné. La plupart du temps, quand nous avons une tueuse, il s’agit d’une femme « passive » qui empoisonnera ses victimes ou qui ne se mouillera pas les mains. Là pas du tout !
La narration est intéressante aussi : chaque chapitre est dédié à un personnage et donc écrit sous sa vision. Nous alternons entre une journaliste, la femme policier en charge de l’affaire et un détective privé. Ces chapitres sont tous écrit à la troisième personne du singulier. Les seuls chapitres écrits avec la première personne se trouve à chaque début de partie et m’ont beaucoup intriguée. Tout se révélant dans les dernières parties du livre.
Cette narration est le genre que je préfère car elle permet de connaître tous les points de vue et a une tendance à vouloir te faire tourner les pages. Les chapitres courts aidant encore plus à cette dynamique de page-turner.
La conclusion est très bonne mais assez particulière. Je n’avais vu ça dans un thriller, cela m’a semblé étrange mais ne m’a pas déçue.
Je conseille ce livre aux personnes adorant les policiers et les thrillers. Je pense que tous ces points feront que vous adorerez ce livre. Pour les néophytes, cela peut être une bonne entrée en matière ; commencer avec un excellent livre est toujours une bonne façon de faire !