Décrypter l’étiquette du médicament prescrit à votre enfant (#Aspartam #BigPharma #FichePratique)

Publié le 21 décembre 2016 par Activeast @activeast

Une autre fiche pratique en cette période hivernale. Ma fille ayant une violente toux, je cherche à la pharmacie la prescription faite par un médecin/membre de la famille. Prenant (naturellement et instinctivement) mon rôle de père au sérieux, j’examine les étiquettes et notices des boites que je m’apprête à donner. Commençant par l’antibiotique, un certain « AMOXICILLINE », je manque de m’étrangler à la vue des « excipients à effet notoire » (une rubrique présente sous les compositions de médicaments).

Aspartam (E951) (Source de phénylalaline), Sodium (5 mg par cuillère-mesure).

Ok. Je ne suis pas médecin, mais ce que je connais de l’Aspartame (sûrement plus qu’un médecin généraliste, en fait) me fait ressortir mon guide des additifs de Corinne Gouget (celui qui m’a déjà servi pour d’autres fiches pratiques). J’y relis ce qui est indiqué concernant cette substance :

Et plus loin (cliquer pour zoomer) :

Disponible en un clic sur internet :

ASPARTAME : FAUX SUCRE – VRAI SCANDALE

(Docu 50min, voir la vidéo sous la description)

Faux sucre, Vrai scandale, est un documentaire (0h51) de la chaîne Planète aberrant, consacré à l’aspartame, un édulcorant de synthèse dangereux pour la santé et présent dans les aliments et boissons de consommation courante.

L’aspartame a été découvert par hasard en 1965 au laboratoire Searle, aux États-Unis, par un scientifique qui cherchait à mettre au point un médicament contre les ulcères. En goûtant une pincée de sa poudre, il se serait rendu compte qu’elle avait un goût étonnamment sucré. Cette découverte était une bénédiction pour l’industrie alimentaire qui cherchait une solution de rechange aux cyclamates et à la saccharine, interdits dans les aliments par le gouvernement depuis que des études chez les animaux ont révélé qu’ils entraînaient des cancers.
Son vrai nom est E951, un code incompréhensible pour le consommateur qui cache bien des doutes sur son impact sur la santé humaine, et on le retrouve dans de nombreux aliments. L’aspartame est un édulcorant artificiel puissant et faible en calories, une poudre chimique blanche inodore dont le pouvoir sucrant est environ 200 fois supérieur au sucre. En Europe, son utilisation est autorisée en tant qu’additif alimentaire dans beaucoup de denrées alimentaires, comme des boissons, des desserts, des confiseries, des produits laitiers, des chewing-gums, des produits hypocaloriques ou amaigrissants, en édulcorant de table et également dans certains médicaments.

L’enjeu est un marché de centaines de millions de clients. Depuis plusieurs dizaines d’années, l’aspartame s’est insinué partout comme le faux sucre offrant la promesse d’une consommation déculpabilisée, sans la crainte des calories ou de la frustration.

Donald Rumsfeld.. un « saint » homme… ou pas

L’aspartame est cependant suspect depuis longtemps et dès lors que cet édulcorant, homologué d’abord aux États-Unis en 1973, a été mis sur le marché par la firme Monsanto. En effet, Ben Donald Rumsfeld était secrétaire général de la maison blanche en juillet 1974 lorsque l’aspartame fut approuvé par la FDA, Food and Drug Administration, puis il est devenu directeur général de G. D. Searle & Company de 1977 à 1985, utilisant l’aspartame.

Des expériences ont conduit des chercheurs à s’interroger sur ses effets nocifs au niveau neuronal ainsi que ses effets cancérigènes. Deux dernières études scientifiques, italienne et danoise, viennent de mettre en lumière les dangers pour la santé de l’aspartame, l’édulcorant le plus utilisé au monde. Selon la première, menée au Danemark sur près de 60.000 femmes enceintes, la consommation régulière de boissons gazeuses aux édulcorants type soda light augmente de 38 % les risques de naissance prématurée. Boire deux à trois sodas de ce type par jour accroît ce risque de 35 %. Au-delà de quatre canettes par jour, celui-ci bondit de 78 %. La seconde étude, italienne, est signée par l’Institut Ramazzini de recherche en cancérologie environnementale. En exposant 240 rats à l’aspartame à haute dose, de leur gestation in utero jusqu’à leur mort, elle montre que sa consommation favorise les risques de cancer, notamment du foie et du poumon, chez les spécimens mâles.

Le professeur Jean-François Narbonne, toxicologue reconnu, appelle les français à cesser de consommer de l’aspartame, cet édulcorant présent dans des milliers de produits.

« Ces résultats viennent indiscutablement renforcer les doutes. Cela ne nous surprend donc pas. On sait que, dans l’organisme, l’aspartame produit du méthanol, celui-ci se métabolise dans le foie en donnant du formaldéhyde, un cancérigène reconnu. Ce n’est pas d’hier que la recherche soupçonne une possible altération de l’ADN liée à la consommation d’aspartame. Les principaux risques sont les cancers, la prématurité du fœtus, mais aussi des risques neurotoxiques avec, à la clé, des troubles du comportement comme l’hyperactivité chez l’enfant. J’appelle les consommateurs à arrêter de prendre de l’aspartame, et j’appelle les médecins à cesser d’en prescrire. C’est comme pour le Mediator, l’aspartame cumule des risques, suscite des alertes médicales, et ne présente aucun bénéfice. C’est une invention de l’industrie agroalimentaire qui maintient les gens dans des comportements aberrants. L’aspartame ne présente aucun intérêt nutritionnel et n’a jamais fait maigrir personne ».

Lors d’une conférence sur l’aspartame, il a été dit : « Si vous consommez de L’aspartame et que vous souffrez de symptômes fibromyalgiques, de spasmes, de lancements ou d’engourdissements dans les jambes, de crampes, vertiges, nausées, maux de tête, acouphènes, douleurs articulaires, dépressions, crises d’angoisse, discours incohérent, vision trouble, ou pertes de mémoire, vous avez probablement la maladie de l’aspartame ! »
Parmi les autres symptômes figurent les dépressions, les changements d’humeur, les troubles menstruels, les crises d’épilepsie, la diarrhée et même quelques décès. Il ne s’agit là que d’une fraction des effets actuellement associés à la consommation d’aspartame, puisque la majorité des gens n’ont pas encore fait le lien entre leurs problèmes de santé et ce produit.Aussi, quand la température de l’aspartame dépasse les 30°C, dans le corps, ou à la cuisson, l’alcool méthylique ou alcool de bois contenu dans l’aspartame se transforme en formaldéhyde puis en acide formique qui, à son tour, cause l’acidose métabolique.
La Food and Drug Administration américaine liste 91 symptômes prouvés liés à l’absorption de l’édulcorant, en passant par le coma jusqu’à la mort.

Dans ce documentaire, Cori Brackett est une victime de l’aspartame. Après vingt années de grande consommation de produits light, elle s’est retrouvée en fauteuil roulant. Atteinte de sclérose en plaques, les symptômes ont fortement régressé avec l’abandon de sa consommation d’aspartame. Cori Brackett est alors partie en guerre contre ce faux sucre qui a failli lui coûter la vie. Des médecins, des avocats et d’autres victimes de l’aspartame témoignent des dangers de cet édulcorant.
Une enquête pas « light » du tout sur ce produit chimique et les méthodes utilisées par l’industrie agroalimentaire pour duper les autorités sanitaires inefficaces. Pour notre sécurité et santé, et afin d’éviter de s’empoisonner encore longtemps, il est alors prudent de surtout bien lire les étiquettes et de s’informer des contenants de tous nos produits. (Source présentation : inexplique-endebat.com)


A ce stade, on se dit « bon, je vais aller vérifier s’il existe une autre version de ce médicament ». Commençons par ce mot, ajouté au stylo par la pharmacienne sur l’emballage :


Je vais donc sur  le site doctissimo.fr pour voir si par hasard on pouvait éviter l’aspartame. Voici la liste des excipients à effet notoire de ce médicament :

Source : http://www.doctissimo.fr/medicament-CLAMOXYL.htm

Tenez-vous vraiment à ce que je décortique tous ces additifs (six « E… » différents) ? ……… Tout est disponible dans le guide de Corinne (ou ailleurs).
Nous avons donc le « choix » entre la peste et le choléra. Merci, pharmaco-chimie.
  • Aller plus loin :

Questions

  • Pourquoi les bibles des praticiens de la médecine ne tiennent pas compte de ces éléments disponibles pour tout fouineur amateur ?
  • Est-ce que les médecins se cantonnent à leurs bibles estampillées « pharmaco-chimie », ou leur arrive t-il de se renseigner hors de leur paradigme-aquarium ?
  • Où sont les alternatives ? Ces alternatives sont-elles d’ailleurs possibles ? Est-ce que le complexe / cartel pharmaco-chimique laisse la place à des alternatives ?
    >
J’entends déjà des commentaires comme :
  • « Ce ne sont que des doses infimes ! »
  • « Il faut bien guérir la maladie »

Comme le rappelle si bien Salim Laïbi dans le chapitre concernant « Big Pharma » dans son excellent pamphlet « La faillite du monde moderne« , l’argument de « dose infime » ne tient pas dans la réalité : nous sommes quasiment* obligés d’ingurgiter quotidiennement ces « doses infimes » dans la nourriture (additifs, conservateurs), dans les « produits de beauté » (aluminium interdit dans les déodorants, mais encore imposé dans les vaccins…), les produits chimiques présents dans la cuisine ou la salle de bain (fluor du dentifrice, shampoings, lessives etc.). Nous baignons dans cet environnement malsain de « doses infimes » qui, cumulées, deviennent moins infimes. Et, surtout, l’effet cocktail, qui résulte du mélange de ces molécules chimiques quotidiennes, n’a jamais été réellement mesuré par les fantomatiques agences de contrôles et de mise sur le marché.

*Il appartient à chaque individu conscient de refuser simplement ces produits, « tout simplement ». Dans les faits, le conformisme à l’environnement dominant rendra cette démarche moins « simple ».


  • La revue de presse Santé d’Activeast : Actu Santé et alternatives
  • Dossiers : explicithistoire.wordpress.com/category/sante-en-danger/