Moi qui me pique d’antiracisme, je m’en veux un peu de ne pas connaitre jusqu’alors Emmanuel Debono. Je découvre cet historien par le biais d’un article sur son blog du journal Le Monde :
je connais bien le procédé en effet, pour l’avoir observé à maintes reprises. Il n’honore pas vraiment celui qui l’utilise, tant il en dit long sur ses compétences intellectuelles. Aussi n’ai-je pas appris grand chose de la part de ce Monsieur que je ne savais déjà sur les us et coutumes assez détestables de la tribu primitive des Onéchénous, que j’observe quotidiennement en patient éthologue. « Ali Juppé », toussa, on connait. Ce n’est pas tant l’article en lui-même qui m’a interpelé que le premier commentaire qu’on y trouve en dessous :
Bravo Alfred, t’as gagné le pompon… Le crétinisme décrit dans l’article aussi admirablement illustré, illico presto, voilà qui ne manque pas de sel… Tout mon mépris. Avec de la merde autour, pour l’odeur. Car la couleur, tu l’as déjà.