Je t’écoute, bien sûr. Mais si tu savais ce que j’en ai à faire de ton histoire, j’en parlerai à mon cheval..
- J’aimerai bien que tu me lâches les baskets, j’ai une faim de loup et si ça continue je vais manger avec les chevaux de bois, je vais être obligée de me passer de déjeuner. La pause repas n’est pas extensible…
- Tu en as même fait ton cheval de bataille : l’heure c’est l’heure.
- Toi qui es très à cheval, très pointilleux sur les horaires, tu devrais comprendre ça.
- Mais sauter un déjeuner ce n’est pas la mort du petit cheval, ce n’est pas très grave.
- Et ne monte pas sur tes grands chevaux. Ne t’énerves pas.
- Sinon je connais un très bon moyen de te calmer à défaut d’un remède de cheval : Je te plante là et je vais me promener toute seule.