Le Lyonnais Julien Hugues cuisine "Sans beurre et sans reproches". Elles disent toutes merci à son site "Light To me". Pour Noël, mettons le au défi de conjuguer saveurs et diététique.
Les lettres au père Noël ont été envoyées depuis longtemps, les cadeaux sont achetés, emballés avec soin et cachés dans l'armoire, tout est prêt pour le Noël de vos bambins... Tout? Non sauf l'irréductible épineuse question du repas de Noël ! Jetons un coup d'oeil à quelques plats du chef.
Cuisse de dinde, canard à l'orange et Buche glacée....
Vous avez commencé à réfléchir à votre menu pour noël? Valérie vous propose cette dinde fourrée au marron. Il est souvent très long de cuire une dinde entière donc Valérie vous explique comment désosser une cuisse de dinde et réaliser une jolie crépine. Alors pourquoi ne pas succomber pour cette recette savoureuse?
L'incontournable des repas de Noël, c'est bien l'éternelle bûche pâtissière. Bien souvent, arrivé en fin de repas malgré 2 voire 3 trous normands, difficile de trouver son " troisième " estomac pour ingérer une tranche de bûche bourrée de crème au beurre... Je vais pas vous le cacher, moi j'adore la crème au beurre mais après un repas copieux c'est pas possible. C'est trop écœurant! C'est pourquoi, cette année, j'ai décidé de m'attaquer à la bûche de Noël afin de la rendre plus légère et plus digeste. Avec une mousse légère de crème de marrons sur un insert de crème brulée allégée aromatisée à la fève tonka et un biscuit financier réduit en matière grasse. Ce dessert en séduira plus d'un par sa simplicité de réalisation, son mariage de saveurs et surtout sa légèreté
Lire la suite sur Light to me .... Il y a des classiques en France qu'on n'ose pas trop toucher car ils ont représenté nos dimanches en famille ou nos repas festifs. Le canard à l'orange est l'un de ces plats intouchables. En effet, ma mamie nous faisait un canard à l'orange à tomber par terre mais son secret, en plus de l'amour et du partage, était de se lever à l'aube pour gâter sa famille aux repas du dimanche. Lorsque mon père m'a défié de refaire le " plat de son enfance " sans aucune instruction ni recette écrite par sa défunte mère, j'ai eu envie de me surpasser pour lui transmettre toute l'émotion que j'ai pour lui. C'est toujours compliqué de s'attaquer aux souvenirs gustatifs d'enfance , en faisant fi de nos propres interprétations.Je pense avoir réussi mon pari lorsque mon père a posé sa fourchette, suite à sa première bouchée, et a dit, larme à l'œil: " Merci mon fils, c'est exactement le même " puis s'est adressé à ma nièce pour la bassiner sur ce fameux plat ancestral qui ne devrait jamais être transformé...
Bon, entre nous, j'aime mon père car il m'a supporté durant toutes ces années, et il a du mérite pour ça, mais je ne n'irais pas me lever à 6h00 du mat' pour contenter ses exigences. Non mais!
Pourquoi ne pas tout simplement profiter de sa famille et cuisiner le plus rapidement possible avec une cuisson à l'étouffé? Lire la suite sur Light to me ....
L'incontournable des repas de Noël, c'est bien l'éternelle bûche pâtissière. Bien souvent, arrivé en fin de repas malgré 2 voire 3 trous normands, difficile de trouver son " troisième " estomac pour ingérer une tranche de bûche bourrée de crème au beurre... Je vais pas vous le cacher, moi j'adore la crème au beurre mais après un repas copieux c'est pas possible. C'est trop écœurant! C'est pourquoi, cette année, j'ai décidé de m'attaquer à la bûche de Noël afin de la rendre plus légère et plus digeste. Avec une mousse légère de crème de marrons sur un insert de crème brulée allégée aromatisée à la fève tonka et un biscuit financier réduit en matière grasse. Ce dessert en séduira plus d'un par sa simplicité de réalisation, son mariage de saveurs et surtout sa légèreté