S’il vous prenait l’idée saugrenue de considérer les groupes de rock identitaire, dits « néo-nazis » (je ne vois vraiment pas ce que ce genre d’idées à de nouveau…), généralement de type RAC (Rock Against Communism) pour de simples spectacles exotiques, bien que de mauvais goût, voilà une information qui suffira à votre édification personnelle. Bien que peu récente (elle date d’avril 2016), elle permet d’illustrer à quel point le terrorisme d’extrême droite est bien réel, et présent jusque dans nos campagnes… Les perquisitions menées au cours de l’enquête avaient en effet permis de mettre la main sur tout un arsenal de guerre : une dizaine de fusils, deux révolvers, une trentaine d’armes blanches. Il y avait aussi des casques lourds, des gilets pare balles et des drapeaux nazis. 11 personnes ont été interpellées dans huit départements , mais seulement 3 ont été mis en examen et placés sous contrôle judiciaire. Au centre, un habitant de Bourg Argental, âgé d’une trentaine d ‘années, qui lui été remis en liberté : il n’avait fait que louer la salle de concert à Roisey, n’est-ce pas ? Je paierais cher pour savoir de qui il s’agit, précisément… J’ose espérer qu’on assistera aux mêmes types de développements ultérieurs si édifiants sur les us et coutumes de ceantifascisme, s « onécheznous » avec un autre concert du même genre, et la même racaille identitaire, raciste, aux idées toxiques et dangereuses, à Saint Martin Terrassus, dans le Limousin, plus récemment…
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Terrorisme d’extrême droite, suite : le cas du concert nazi de #Roisey
Publié le 13 décembre 2016 par Mister Gdec
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