La dernière fois, c'était il y a 45 ans, il y avait surtout des bougies sur le rebord des fenêtres et il faisait déjà très froid. On avait dormi chez Jeannine. Cette fois, on a pris le train de Anse, un peu trop tôt. Il faut dire que, attentats obligent, la fête ne dure que trois jours et commence à 20 heures plutôt que 18. Arrivés tôt, on a pas eu de problème avec les contrôles. On s'est dit que c'était vraiment impossible de sécuriser une telle fête avec tout ce monde.
Côté lumières, les choses ont bien évolué. Grace à l'appli conseillée par Xavier, on a pu circuler sans se perdre parmi les différentes œuvres entre la vieille ville et la presqu'île au milieu d'une foule dense presque partout. Départ place des Terraux (la place de Buren sans cartes postales - Voir une note précédente) pour une illumination sur les murs de la mairie et du musée. Puis déambulation...